J´aurai bien travaillé dans l´administration... Mais toute la journée à rien foutre... c´est dur, hein. Mais, c´est à dire que, vous savez, en France, l´administration c´est très fertile :
On y plante des fonctionnaires, il y pousse des impôts. Moi je pouvais pas y travailler parce que je parle en dormant. Alors la nuit c´est pas grave, mais au bureau c´est chiant. Et puis alors, le premier jour que j´arrive à l´administration : PERSONNE !!! Alors, euh, j´appelle : - "Hé ho, Hé ho !" Personne... bon ! Finalement, j´vois le signal d´alarme... je tire le signal d´alarme : Cinq minutes après, le mec arrive du bistrot avec six bières. Alors, j´arrive... Mon vieux, pas de bol ! Il nous donne du travail comme QUATRE !!! ... Heureusement on était huit !... Et tout de suite je me suis fait un copain dans l´administration, il m´a dit :
- "Mon vieux, si je peux te donner un conseil, j´te vois là... : Dors pas le matin... sans ça, tu sauras pas quoi faire c´t´après-midi..." Car, vous savez, les administrations, c´est des endroits où quand on arrive en retard, on croise ceux qui s´en vont en avance.
Et d´ailleurs, on dit que si jamais y en a un qui meurt dans l´administration sur le lieu du service, il faut lui retirer les mains des poches... pour faire croire à un accident de travail.
Sans compter que l´administration, on devrait lui confier l´inflation. Ben ça la stopperait pas, mais ça la ralentirait considerablement quand même !
Combien vous croyez qu´il y a de gens qui travaillent à la sécurité sociale ?
Un sur quatre... et je suis LARGE !
A la sécurité sociale, tout est assuré... Sauf la pendule. Ben on ne risque pas de la voler : le personnel a les yeux constamment fixés dessus.
Alors l´autre jour, une copine qui part en avance, le patron lui dit : - "Dis donc, vous partez en avance et vous êtes arrivée en retard aujourd´hui déjà ! Ben, elle dit : - "Justement ! ... Je voudrais pas être en retard DEUX FOIS dans la meme journée !". Ben dis donc, heureusement qu´ils sont pas dans le batiment à la sécurité sociale... Ils auraient les doigts pris dans le béton !