Quand je bois à l´eau fraîche À l´eau fraîche de tes lèvres Quand je bois à l´eau claire À l´eau claire de tes yeux J´ai si peur de te perdre
De te perdre, de te perdre Mon amour, que je pense Que je pense à ces malheureux
À tous ces gueux sans âme Sans visage et sans âge Qui n´ont plus une larme Une larme pour pleurer Au soleil qui les brûle Qui les brûle, qui les brûle Mon amour, quand ils chantent Quand ils chantent, désespérés
Quand je t´ai dans mes bras, le soleil du Mexique Est un enfant de chœur à côté de celui Qui incendie mon cœur, ce soleil fantastique Et brûle à petit feu et mes jours et mes nuits
Mais moi, j´ai cette eau fraîche Cette eau fraîche de tes lèvres Mais moi, j´ai cette eau claire Cette eau claire de tes yeux Tant et tant que sans elles Que sans elles, que sans elles Mon amour, que sans elles et sans toi Je serais comme eux
Comme ces gueux sans âme Sans visage et sans âge Qui n´ont plus une larme Une larme pour pleurer Au soleil qui les brûle Qui les brûle, qui les brûle Mon amour, quand ils chantent Quand ils chantent, désespérés
Mais qu´importe après tout, le soleil du Mexique Est un enfant de chœur à côté de celui Qui incendie mon cœur, ce soleil fantastique Et brillera toujours si je t´ai, mon amour