Puisqu´il nous faut attendre que le ciel se découvre Puisque notre étoile brûle juste devant nous Puisqu´il ne reste que l´espoir et quelques souvenirs
Désolé je n´ai pas su faire, je n´ai rien su te dire Puisqu´il nous faut partir alors que tout est vert Prendre la route sans toi, retrouver l´hiver Comme on vit, comme on crève, et comme on doute Comme certaines fois tout s´achève avant même d´éclore.
Le vent s´est levé au moment de s´y croire Tout s´est mis à vaciller, enflammer le mirage.
Ce sont tes cheveux que j´embrasse et tes mains que je serre C´est tout ton corps que j´enlace dans chacun de mes vers C´est ton absence qui m´emporte dans d´autres bras Où je m´endors chaque nuit, en pensant à toi Comme on vit, comme on crève, et comme on doute
Comme certaines fois tout s´achève avant même d´éclore.
Et le vent s´est levé au moment de s´y croire Tout s´est mis à vaciller, enflammer le mirage.
Sûr que j´irai courir dans d´autres printemps Sûr que j´entendrai tes rires de temps en temps Comment veux-tu que je te dise comme tout peut basculer Il suffit parfois d´un instant, d´un instant pour tout gâcher.
Et le vent s´est levé au moment de s´y croire Tout s´est mis à vaciller, enflammer le mirage.
Et nos routes ont dévié, au moment de s´y croire Le doute s´est mis à trembler, en ruinant nos espoirs.