La D, la D J´me sens comme Michael Corleone dans l´Parrain 7 Sept cent soixante-dix mille euros, inch´Allah J´me sens comme Nicky Santoro, Casino Royale Putain sa mère
Eh
J´me sens comme Michael Corleone dans l´Parrain 7 Sept cent soixante-dix mille euros, inch´Allah La mort parle trop fort, les imbéciles écoutent Les amis sont serpents, pythons et cobras Quand y a un doute, y a plus d´doute Inch´Allah qu´j´finis pas à sec ta3 le mari d´la couz´ J´terminerais premier d´la course ou jamaïcain, Asafa Powell Les ennemis, faut s´en faire pour eux, les regrets stériles enterrés J´donne maman, j´prends vos vieux terrains Ils sont battus, ils m´parlent de concu´, tu sais ??? L´avenir bâti sur un croquis, maintenant, ils veulent tous venir croquer
J´te monte les marches, j´suis comme Rocky Les valeurs se f´ront pas croquer, gros, t´es en vie, t´sais pas grâce à qui Les faibles se croient forts, j´suis choqué J´suis tout noir, carbo´, j´ai jamais mis d´Choko J´suis d´la zone comme le bon vieux Sissoko Le cœur tout noir, il faudrait l´disséquer Pour braquer, il m´faut juste quarante secondes L´écart est creusé, j´dis merci à Dieu, si j´meurs, j´reviens pas comme Krilin Regarde-nous pas, fais pas l´con, toutes nos vies sont en impro´ J´pars en gardav´ en caleçon
Eh Trop d´bâtons dans mes roues, dans l´Mercé´ j´vois pas d´mauvais présages, pressé d´brasser d´puis les moutardes
Tôt ou tard, tout tombe, les toutous deviennent fils de puta, on m´avait dit qu´les vestes se tournent J´prends pas les détours, tous ils mythonnent, la calle, c´est noir, t´hallucines Y en a qui prient juste pour m´voir éteint, on parle pas trop, on fait des signes, j´dirais à mon fils : "Faut être quelqu´un" La vie avance, qui recule ? Plein d´sous, j´étais ACAB, aucun lien seul sur la dune Que des noirs comme à la CAN, j´aime pas les mecs dans l´abus, j´préfère ceux qui font d´la tune Inch´Allah qu´j´vais passer un cap, inch´Allah qu´j´suis pas dans l´enquête C´est Game of Thrones, qui veut ma tête ? J´suis Jon Snow, veilleur des nuits, quand j´fais la guerre, je la gagne