J´suis rentré tard en tac au tac, j´suis parti dodo Six heures du mat´ on m´réveille mais c´est pas la lice-po
Madame me guette de haut en bas, ça sent les blèmes-pro Ça sent la merde, dans sa main droite y avait mon bigo "Jure-le, jure-le, tu la connais pas" et "Jure-le, jure-le, tu la connais pas" J´ai fais le maximum pour retourner son cerveau, mais tout c´que j´lui dis : ça rentre et ça sort
Et "Jure-le, jure-le, tu la connais pas" et "Jure-le, jure-le" "Jure-le, jure-le, tu la connais pas, jure-le, jure-le" "Jure-le, jure-le, tu la connais pas, jure-le, jure-le" "Jure-le, jure-le, tu la connais pas, jure-le, jure-le"
Elle est dans l´monologue, elle s´met à parler solo Elle m´pose cette question sans réponse, elle m´voit en mytho Entre les insultes et les talons qui volent à gogo J´sais plus quoi faire à part attendre qu´elle baisse le niveau "Jure-le, jure-le, tu la connais pas" et "Jure-le, jure-le, tu la connais pas" Une heure après, j´la vois fatiguée, c´est pas trop tôt mais tout c´que j´lui dis : ça rentre et ça sort
Et "Jure-le, jure-le, tu la connais pas" et "Jure-le, jure-le" "Jure-le, jure-le, tu la connais pas, jure-le, jure-le"
"Jure-le, jure-le, tu la connais pas, jure-le, jure-le" "Jure-le, jure-le, tu la connais pas, jure-le, jure-le"
Elle me dit : "Dis-moi la vérité et j´arriverai peut-être à te pardonner" Et j´me dis que si je dis la vérité, elle m´le ressortira dans quelques années On va rester ici de midi jusqu´à minuit, si j´la laisse partir voir ses copines, je suis un homme cuit Trop d´émotions, dans sa tête c´est sûrement le grand huit Elle passe de "Je t´aime" à "J´sais pas pourquoi j´t´ai dis : oui"
Et "Jure-le, jure-le, tu la connais pas" et "Jure-le, jure-le"
"Jure-le, jure-le, tu la connais pas, jure-le, jure-le" "Jure-le, jure-le, tu la connais pas, jure-le, jure-le" "Jure-le, jure-le, tu la connais pas, jure-le, jure-le"
Mmh, au bout du compte, j´ai fini par me noyer Les yeux vers le ciel à m´demander : "Qui m´a envoyé ?" Au bout du compte, j´ai fini par me noyer Les yeux vers le ciel à m´demander : "Qui m´a envoyé ?", yeah Malgré ça, j´vais nié encore et encore C´est pour te retenir, hin, oh oh ah