Je suis l’enfant de France qui porte à l’horizon Comme un sanglot la flamme de la révolution Et si la Terre pour moi, n’a pas de nations Que le pays du cœur qui porte le fleuron
Des fleurs du solidaire qui unira le chant De toutes les sœurs et frères, des tous les partisans Si je suis le drapeau du peule résistance De toutes les nations, je suis l’enfant de France
Des médias corrompus, et le peuple à la rue Au monde des marchands, toujours qui prostituent Des pouvoirs qui n’entendent jamais que la violence Sont bien tristes aujourd’hui, oui les rues de ma France Il n’y aura d’autre choix que de prendre les armes Il n’y aura d’autre choix, oui pour sécher les larmes De ces peuples éduqués à la stupidité
Il n’y aura d’autre choix, que mort des libertés
Ils ont vendu l’enfant ils ont tué la Terre Ils ont fait du printemps cet éternel hiver Qui vient peupler l’assiette toujours des populaires Du pain des nourricières pour devenir la pierre Ils ont violé culture, ils ont pourri nature Ils ont vendu, c’est sûr, ton pays aux ordures Ils ont pris ton boulot, contre une application Pour faire rêver ton môme toujours que de pognon
Contre l’état de droit, virant état du roi Il faut lever le poing, oui pour changer les lois Redonner la parole au langage du cœur Que la chasse aux sorcières soit le spéculateur
Sur la misère des gens, sur les dettes des pays Quand le cœur résistant lancera l’incendie De ce règne marchand, qui vient violer les petits Du peuple de sans dents, qui recherchent un abri
Honte à toi tout là-haut, au sourire des princières Honte à toi d’envoyer l’armée des tortionnaires Sur ton peuple affamé, comment dire sur tes frères Sur ces gens qui ne cherchent qu’à survivre à l’hiver Honte à tous ces gens-là qui n’ont plus de notions Que cette avidité, du règne du pognon Moi mon patriotisme reste le solidaire
À partager à tous les enfants de la Terre
Je serai le boxeur, qui face aux matraqueurs Dépositaires du droit, oui de frapper les sœurs et frères de mon pays Perdu dans la douleur, face à la tyrannie des amputés du cœur Toujours la répression, des ouvrières en sang Pour sauver leur pognon, sauver leur dieu l’argent Toujours les parisiennes, peuple collaborant Des élites au QI comment dire, du néant
Puisqu’il n’est pas de loi pour faire payer l’impôt Au milliardaire réseau, exploitant du ghetto Puisqu’il n’est pas de loi que celle du dieux l’argent
Qui saigne les troupeaux oui de collaborant Tant que tu cliques ami, eux ils font du pognon Nourrissant tyrannie pour faire élire les pions Peuple pris dans la toile pour sa révolution Faut-il sauver l’étoile par une application ?
L’avenir le dira, mais une chose est certaine Il faut tuer les rois, les rois de la gangrène Et crois-moi ces gens-là, au cercueil en dorures Oui sont bien mieux planqués qu’à l’Élysée c’est sûr Si les maitres du monde sont dans les connexions Oui si la bête immonde saura changer de nom Peuple héroïnomane de sa triste opinion Sur les roseaux tristesse, liberté d’expression Des esclaves de Facebook, des esclaves du pognon
Des vendeurs d’accessoires pour meute de trouffions De ce Capitalisme, fascisme éducation Qui fait que réussite rime avec les millions Deux milliards connectés pour faire qu’un milliardaire À leur cou serre encore un peu plus le collier Pardon si moi j’étais oui toujours visionnaire Quand je sortais la triste hashtag humanité
Pour sauver notre monde, pour sauver notre Terre Il n’est de solutions, oui que le solidaire Et si les lois ici, bien tristes grabataires Ne font que protéger, oui le totalitaire Pouvoir des médiatiques qui tuera le poète Qui bien loin de leur fric rêvait d’une planète Des langages du cœur contre la tyrannie
Il faut croire que nul naît poète en son pays
Mon pays c’est la France, mon pays c’est la Terre Et de tous ses enfants elle sera solidaire Et quand la résistance fera naître lumière Aux Elysées d´obscurs qui prostituent la Terre Je suis l’enfant de France qui porte à l’horizon Comme un sanglot la flamme de la révolution Et si la Terre pour moi, non n’a pas de nations Que le pays du cœur qui porte le fleuron