À la mémoire de ces millions de chômeurs de génocidés À celui qui trime l’horizon, prisonnier de ce champ de blé À la santé de ceux qui lutte à mains nues contre l’homme armé
Les chants des esclaves du pays, je crois qu’il est l’heure d’incendier Pour nos gamins perdus tu vois dans les empires de cet avoir Si il faut lutter contre leurs lois, si c’est le peuple contre pouvoir Oligarchique pour protéger, tous les notables et les bourgeois Non ne t’en fait pas mon pays, bientôt seront pendus les rois Si les martyres sont les millions de gens nations après nations Violé par les gouvernements, violé par des applications Aux décadences publicitaires pour engraisser la dictature Bien saigner les populaires, et puis leurs enfants ça c’est sûr
Si les médias sont leurs capots, alors il faut brûler les médias Liberté sera le drapeau, contre les juges, contre les lois De toutes les pourritures tu vois dans les réseaux de la banquière Ce siècle sera le combat, populaire contre financière
Liberté, liberté
Puisque la République est morte, que le pantin du président Ici que des chaines de télé, possédées par le dieu l’argent Puisqu’on élit que des larbins, des grands maitres de l’accessoire De ceux qui ne produisent rien oui mais sont côtés des milliards
Démocratie des libertés, fini fiché dans le computer Mais toi tu payes ton abonnement pour pouvoir cliquer ton twitter Quand il est l’heure de l’incendiaire, enfin d’aller brûler la bourse Dis-moi dans tous les virtuels t’as pas bien lu dans les grandes ours Si c’est le ciel de la révolte, de celle pour nourrir ton enfant Quand il faut sauver la récolte alors comme un nouveau printemps Si il faut bruler les officines des propagandes de la souffrance Puisque l’empire de la finance ne comprendra que la violence Un jour le sang sur les trottoirs sera celui des gouvernances
Tristesse à dire mais les pouvoirs ne sont fais que pour la potence Et si leurs juges mettent en prison les révoltés de la nation Alors nous les libérerons quand viendra la révolution Soyons le poing de ce sans armes, qui n’est que le cœur de l’humain De ceux-là qui n’ont que leurs larmes pour redessiner leur destin Soyons combattant du malin, des univers collaborant Soyons le ruisseau du chemin, soyons le cœur du résistant
Liberté, liberté Liberté, liberté
Je crois qu’un nouveau jour se lève, révolution des nations Qu’on saura faire de nos rêves un jour la grande rébellion Sur cette planète qui crève, si c’est l’heure de l’insurrection Puisque du peuple sera la sève, la plus belle huile de l’horizon Des infinis dans les poussières, pour peindre des soleils levants Des particules élémentaires, en tourbillon dans l’ouragan Dessineront des hémisphères d’un nouveau monde à toi et moi Aux lumières de nos incendiaires il faut brûler cet argent roi De satellites en barricades, l’heure est à la révolution
Tu vois comme un printemps de Prague contre les chars de l’oppression Populaire contre milliardaire, si c’est le peuple contre l’argent Puisque civile est la guerre, résistants contre collaborant Mais si il faut prendre les armes, si il faut se battre pour la terre Il faut jamais lâcher le combat, qu’on soit contre l’univers Il n’est pas d’armé qui ne puisse repousser le cœur de l’enfant Qui pour sa vérité se bat seul face aux hordes de l’argent Lui qui ne tient à bout de bras que le vent de sa liberté Qui n’a pour nul autre combat que son frère solidarité
Aux horizons ouvrant le ciel, au poing levé du combattant Il n’’est qu’un chemin éternel et c’est celui du résistant Seul face aux assassins du monde, si c’est le chant des partisans Cœur serré, poing levé mon frère, tu verras viendra le printemps Face aux galaxies tortionnaires nous seront les incandescents Nous resterons toujours les frères et sœurs du peuple indépendant Quel que soit la meute des chiens qu’ils lâcheront contre ceux-là Qui n’ont de vertu que le libre, de combattre contre les rois Seul à la proue des libertés, du navire des indépendances
Ne toucheront l’éternité que les fils de la résistance Quel que soit les marchands du temps pour lapider les révoltés Ou quel que soit les gouvernances qui aiment bien matraquer l’ouvrier Et puisque les lois de l’empire du mal sont les génocidaires De ces millions d’âmes aux abois à combattre le tortionnaire Pognon qui crucifie les âmes autant qu’il fait saigner la Terre Vois-tu demain naître la flamme de l’obscurité la lumière Des yeux de ce peuple soudain unis par la fraternité Qui fera du mot liberté un jour la solidarité