J ´ai eu beau m ´asseoir, pour tout contempler, j ´ai regardé l ´eau couler, peut-être, pouvait-elle m ´éclairer?! mais, j ´n ´ai pas tout saisi du dessin, aux contours indécis , brille, entre fantasmes et vérités ,
les foules en voix qu ´on exister, ce que j ´aimerai contre ce que je sais , le monde tel que je le rêve , et celui tel qu ´il est.
Emmène moi au paradis ! et de mes rêves n ´en garde rien ! celui que le vent me fait vivre au fil de l ´eau, avec les miens Emmène moi au paradis ! et de mes rêves n ´en garde rien ! celui que le ciel me fait vivre au fil du temps, avec les miens.
j ´aurai vu passer des journées le nez en l ´air, l ´air alarmé, à chercher quelle était ma place dans la mêlée, pour quel rôle et avec quelle carte à jouer
m ´avait-on dessiné?! m ´avait-on destiné?! mais je me suis laissé aller,laissant le sort en décider comme un bâton serait lancé dans le lit d ´un torrent énervé,condamné à prendre l´eau pour avancer, mais certain d´arriver.
A la faveur d´un jour de pluie, le soir où tous les vœux s ´exaucent, quand la lueur d ´une courte nuit, viendra illuminer la fosse, alors, j´irai verser sur ce décor, défile hanta mes yeux usés, rivière d´argent et larmes d ´or pour le cicatriser!