Les coups de poings dans lÂŽĂąme Le froid de la lame qui court Chaque jour me pousse Un peu plus vers la fin Quand je monte sur scĂšne
Comme on prend le dernier train
MĂȘme les soirs de drame Il faut trouver la flamme quÂŽil faut Pour toucher les femmes Qui me tendent les mains Qui me crient quÂŽelles mÂŽaiment Et dont je ne sais rien
Quand les cris de femmes SÂŽaccrochent Ă mes larmes je sais Que cÂŽest pour mÂŽaider A porter tous mes chagrins Et je me dis quÂŽelles rĂȘvent Mais ça leur fait du bien