J´me gratte la tête devant les infos À croire que la France est sourde Il faut reprendre le problème à sa source De la même manière qu´ils prennent tes impôts Une mise à jour s´impose :
C´est sur le peuple que les monarques chient, Il n´y a qu´une couronne Qui sépare démocratie et monarchie Il y a plus d´échelle sociale Tous les médias laissent parler ce tas de lâche Soi est riche, soi t´es pauvre La France n´est qu´un escalier à deux marches Tu taffes, mais là ça craint T´as pas compris que les temps changent Gros, si tu veux manger à ta faim Ils te diront “mec t´en demande trop” Dehors les bavures policières se maquillent Tout comme un tas de nympho Tu sais ma gueule, pour éblouir le peuple Suffit d´un flash info C´est chacun pour sa gueule Et t´es étonné que ça se divise On voudrait parler d´homme à homme
Mais pour leur gueule on est que des statistiques Je suis venu passer le message Tout ça sans me prendre pour un MC Car c´est devant un micro Que j´ai trouvé ma liberté d´expression Me demande pas Comment on fera un jour pour s´en sortir Car même penché dans le vide J´ai moins le vertige que quand je me penche sur la question ! Nos pensées sont jugées on est tous accusés d´réflexion Mais assumer d´être rassuré, c´est se rassurer d´être des pions Vous esquivez vos bavures mais faudra assumer les lésions
T´as tout gobé devant ta télé pendant la durée de l´élection
Nos pensées sont jugées on est tous accusé d´réflexion Mais assumer d´être rassuré c´est se rassurer d´être des pions Vous esquivez vos bavures mais faudra assumer les lésions Le peuple a des questions, Accusé de Réflexion !
La matrice du vice agit,chaque ville en crise enfile son gilet jaune, Manif partie en vrille, chaque tir de flics à vif empire les choses, C´est très vite alarmant tous ces projets qui se médite à l´avance, Mais qui d´un coup s´écroule sur le refus d´un crédit à la banque De voir le peuple en sang sur le goudron Y´a plus saint Moi je crois que l´homme descend du mouton
Pas du singe Tellement d´ordures qu´il faudrait que je charge deux bennes Des années que je parle que d´elles Cette sacrée charge de haine Qui fera l´affaire des « Maréchal »,« Le Pen » Des origines stigmatisées Parce que certains barjots se perdent Ou un « Allahu Akbar » Déchaîne la haine de la fachosphère Et il faut s´taire tel des toutous dociles Face à de frigides patrons Des affaires de pédophilie mises sous silence À la Brigitte Macron
Et dans tout ça, face a l´avenir je reste indécis
Car c´est devant un micro que j´ai trouvé ma liberté d´expression, Me demande pas comment on fera un jour pour s´en sortir Car même penché dans le vide J´ai moins le vertige que quand je me penche sur cette question
Nos pensées sont jugées on est tous accusés d´réflexion Mais assumer d´être rassuré, c´est se rassurer d´être des pions Vous esquivez vos bavures mais faudra assumer les lésions T´as tout gobé devant ta télé pendant la durée de l´élection Nos pensées sont jugées on est tous accusé d´réflexion Mais assumer d´être rassuré c´est se rassurer d´être des pions