Accueil  💃🎤 Paroles de chanson Française et Internationnales

 A   B   C   D   E   F   G   H   I   J   K   L   M   N   O   P   Q   R   S   T   U   V   W   X   Y   Z   0   1   2   3   4   5   6   7   8   9 
Artiste : Davodka
Titre : Cérébral
Nid d´Renard, Nid de Renard
Greenfinch

[Deadi]
Wow, qu´-qu´-qu´-qu´-qu´est-ce qu´il s´passe ? (Han)

[Deadi]
À chacun sa nourriture cérébrale, posé plus près du bûcher qu´du buffet
À trébucher, quelle que soit l´embûche et bûcher comme si de rien n´était dans le pire des états
Doté du côté rusé d´un Nid d´Renard et du côté posé d´un flemmard qu´aurait fumé
Pour décupler ma culture générale, suffirait qu´on ait l´droit d´bédave dans les musées
J´ai toujours tout fait pour éviter qu´on m´évite et pour éviter d´avoir à répondre aux questions des flics (question d´éthique)
Chacun son trip : nous, nos tripеs, on en fait des rimes еt on les kick
Ils nous niquent, on les baise, ils nous baisent, on les nique et, pourtant, y a qu´aux yeux de Jimmie qu´on est quittes

Leur médecine à la con, leurs conneries prophétiques et leurs fêtes à la con, j´en fais des confettis
Les chiens d´la casse aboient dans l´espoir qu´on les pique, éternel fanatique de produits prohibés
Les sens interdits n´ont plus aucun sens depuis qu´tous les interdits sont autorisés
ADN lyricalement modifié, aussi photogénique qu´hermétique aux clichés
La musique en guise de cour de récré ; à deux, on a deux fois d´quoi les Chuck Norriser

[Davodka & Deadi]
La solitude pousse à la réflexion, je nourris mon cerveau de pilons et de grammes
J´ai des rimes affûtées comme moyen d´expression pour scier les barreaux d´ma prison cérébrale

De la cour de l´école maternelle au lycée, nous, c´était des profs qui nous terrorisaient
À trop cogiter, à la longue, on s´y perd ; à trop s´y perdre, au final, on s´y fait
La solitude pousse à la réflexion, je nourris mon cerveau de pilons et de grammes
J´ai des rimes affûtées comme moyen d´expression pour scier les barreaux d´ma prison cérébrale
De la cour de l´école maternelle au lycée, nous, c´était des profs qui nous terrorisaient
À trop cogiter, à la longue, on s´y perd ; à trop s´y perdre, au final, on s´y fait

[Davodka]
Ouais, hey

[Davodka]
Tous attirés par le Diable, à s´tirer vers le bas, c´est égal, la sentence paraît irrémédiable

Et j´té-ma les dégâts car l´État n´est qu´un marionnettiste qui s´régale juste à tirer des câbles
Se creuser la tête, c´est se noyer dans un verre d´eau, le monde part en couilles et tu fais semblant de pas l´voir
Les informations se stockent au fond de nos cerveaux comme du liquide dans une grande passoire
Être à la mode pour rester dans les normes, on m´a dit : "Vas-y, remballe ta p´tite morale"
Tu sais, donner du pouvoir à l´Homme, c´est comme mettre du feu dans les mains d´un putain d´pyromane
Alors, j´refais le monde, seul dans mon appart´, noyé dans l´ivresse, avec le bruit des voisins qui baisent
Des magasins qui ferment, la télé qui tourne et puis la nuit qui tombe, dans cette sale ambiance, faire du pe-ra, ouais, des fois, ça libère

Ouais, j´décris ma vie avec des rimes affûtées, et y a tout le reste qui devient futile
C´est mon élément, j´y suis bien, tu piges ? Perché dans mon monde comme Sylvain Durif
Jusqu´à la fin, je s´rai ce genre de gars qui joue l´équilibriste à côté du ravin
Car j´ai l´âme d´un gamin qui a moins l´habitude de voir la rosée qu´le rosé du matin

[Davodka & Deadi]
La solitude pousse à la réflexion, je nourris mon cerveau de pilons et de grammes
J´ai des rimes affûtées comme moyen d´expression pour scier les barreaux d´ma prison cérébrale
De la cour de l´école maternelle au lycée, nous, c´était des profs qui nous terrorisaient
À trop cogiter, à la longue, on s´y perd ; à trop s´y perdre, au final, on s´y fait

La solitude pousse à la réflexion, je nourris mon cerveau de pilons et de grammes
J´ai des rimes affûtées comme moyen d´expression pour scier les barreaux d´ma prison cérébrale
De la cour de l´école maternelle au lycée, nous, c´était des profs qui nous terrorisaient
À trop cogiter, à la longue, on s´y perd ; à trop s´y perdre, au final, on s´y fait

[Deadi]
J´ai la rime qui les hache à la Ash, qui les patate à la Snatch, qui les rafale à la Dav, qui les balafre à la Kakashi
Les caillasse à la Bart et qui leur flagelle la gueule à coups d´cravache, à la Manatane à chaque fois
Zack a dit : "Arrache-toi d´là", natural born bédaveur, y a pas d´prédateur ou y a pas d´proie, pâle alpha

En deux-trois lattes, j´passe de Jekyll à Hyde, allez tous vous faire enculer, mis à part l´chat

[Davodka]
Je plane au-d´ssus des autres avec aisance, fais chauffer le tarmac et je m´élance
Je marche à la vodka, jamais d´essence (nan, nan), je navigue dans le ciel parmi les anges (eh, eh)
Hé, j´ai qu´ça dans le sang, ma seule devise, c´est filer vite, je me répands dans tes oreilles comme une petite épidémie
Le mauvais sort est destiné à celui qui défie l´équipe car, si je passe devant tes yeux, tu tapes une crise d´épilepsie
"Dis-moi, poto, tu prends du speed ?" : non, non, non, je débarque sur le mic´ sans être en tendance

En attendant, juste en chantant, je redonne l´audition à des malentendants
De temps en temps, t´entends des "pan, pan, pan", je survole mes ennemis tout en les enjambant
Dépasser le mur du son, c´était bien trop tentant, la secousse était si forte que tu r´pars en tremblant, ah