Le Bigo, le Bigo, le Bigo, le Bigo Han-han, han Ojiisama Wouh
Le rap, c´est un truc de gole-mon, en vrai, j´ai bien l´seum d´être un de ces caves Mais j´continue parce qu´un de ces quatre il s´pourrait qu´je pète comme un pain de C4 (ah, ça commence bien) Han, j´calcule plus R, j´fais comme Didier a dit Pour le tiers d´la thune de Gigi Hadid, j´arrive plus déter´ que dix djihadistes Han, j´ai les dents d´puis l´époque des coquillettes, j´ai plus d´ambition qu´les caisses d´allocations À mon grand âge, tu peux m´voir en trottinette ou sans mis-per dans une caisse de location (ouh) Faut qu´j´fasse belek, les méchants visent la tête (piou), ils ont plus l´time pour les articulations Partis d´une fraction, on fabrique une nation, fuck tous leurs mensonges, leurs manipulations
Han (han), Saboteur gang, on schématise, on manigance (Saboteur) Wavy comme jamais, quand j´kicke, même ta mamie danse (ouais, mamie) J´fais gaffe à c´que j´regarde, à comment j´m´alimente Mon corps, mon mental doivent muscler leur alliance ; tous les jours, j´évolue comme l´art et la science (gang) Un seul ciel, un seul sol, j´développe mon art comme Sun Tzu C´est dur d´être le seul sobre, plus dur que d´être le seul saoul Tout n´est qu´paradoxe, y a des frères outillés qui savent pourtant te dire vers où prier Tu veux un feat pour te faire connaître : après l´feat, tu voudras t´faire oublier Droit chemin embouteillé, beaucoup sont bloqués dans l´trafic
Et, moi, sans la ´sique, j´suis comme Rocco sans la trique ou la France sans l´Afrique (ouh) Téléphone arabe a gonflé mes prouesses, ma mère m´demande plus jamais c´que je fabrique Pour faire un mur, faut plus que deux/trois brouettes ; pour un showcase, il faut plus que deux-trois briques (ouh) Putain, mais quelle vie, sourire à la caisse, j´paye comptant, j´fais pas d´acompte Putain, mais quelle vie, quand j´la raconte, on dirait qu´j´me la raconte