Je n’ai pas vendue la maison Je n’ai pas écrit de chanson Je n’ai pas non plus pleuré ce jour là Tu peux me croire
Je n’ai pas crié son prénom Je n’ai pas cassé son miroir Je ne l’ai pas maudit, oh non À la fin de notre histoire
Mais j’ai coupé un arbre Le jour où elle est partie J’ai coupé un arbre Le marronnier si gentil J’ai coupé un arbre Dans la violence, la folie Oui, j’ai coupé un arbre A la hache toute la nuit J’ai coupé un arbre Elle l’aimait comme un ami J’ai coupé un arbre Pour que jamais elle n’oublie
Des après-midi de septembre Où l’on prenait des beignets ensembles Sous le marronnier tranquille Ces jours-là, tu peux me croire
Elle me faisait des confidences Ou bien elle perdait la mémoire Elle ressemblait à l’enfance Et tu vois par désespoir
Mais j’ai coupé un arbre Le jour où elle est partie J’ai coupé un arbre Le marronnier si gentil J’ai coupé un arbre Dans la violence, la folie Oui, j’ai coupé un arbre A la hache toute la nuit
J’ai coupé un arbre Elle l’aimait comme un ami J’ai coupé un arbre Pour que jamais elle n’oublie