C´est tous des rapaces, ils attaquent comme des vautours J´peux pas laisser ma place, trop longtemps qu´j´attends mon tour
Trop têtu p´t-être j´ai tort, 2015 j´veux un pétard 2016 j´ai un pétard, 2025 j´suis en pétard Avant la guerre on s´prépare, c´est l´attaque des titans On aime les actes on aime quand ça d´vient palpitant J´ai les yeux rouge écarlate Y a d´jà mes traces de pas j´m´étais juré d´plus passer par là J´donnais des échantillons, à l´époque de François Fillion Maintenant j´ai deux-trois filons, c´est plus dans l´vol ou l´pilon Elle veut qu´on s´pète en PV, j´lui tire les cheveux J´me gare d´vant chez vous, j´repars en 600 chevaux
Là y a mes pensées qui s´emmêlent J´fais plus d´débats j´écoute même pas j´m´en roule un autre Des fois j´me trompe j´refais la même J´ai pris du temps à faire du ch´min vu qu´viens d´en bas
J´vais pas viser les mollets, j´baisserai pas les bras J´ai fini d´zoner, j´me suis pas livré J´ai quitté l´école, pour faire comme les grands J´ai vu mes collègues enfiler les gants Solide dans les bas, beaucoup d´jaloux dans les bottes
J´comprenais pas, j´les vis-ser j´attendais pas Même quand j´étais pris d´colère, j´ai pas essayé Tu m´as vu m´isoler, et tu m´as laissé
Ça tourne dans l´Grand Paris, ça cherche le bon paris J´donne bolide aux valettes, il comprend qu´c´est carré J´attends pas qu´on m´parraine, j´sais qu´t´as l´seum quand j´arrive J´laisse plus rien apparaitre, c´est comme une maladie On perd tous tout l´monde t´l´a dit, ça croque la vie à fond C´est mort j´lui dit plus rien tenir sa langue c´est marathon
Tu veux ves-qui la peur, tu fais l´aspirateur Les p´tits vont t´vendre la pure, veulent dev´nir des rappeurs Le paraître dans l´habit, c´est la rue qui t´abime Tu joues tu perds ta vie, c´est un p´tit conseil t´as vu T´es niya t´as pas vu la feinte tes ennemis qui s´allient J´fais pas ami-ami sur Dubaï ou Miama
J´partageais ma recette, j´ai vu qu´c´était des faux Souvent les plus gentils qui s´font passer pour des fous Et ta copine j´la regarde pas, jamais j´mets les paluches
Et pour qu´le bénef´ monte en neige, la zip´ dans les valises J´oublie pas la galère, j´ai dû faire tant d´efforts Ça tire en bas d´la tour, tu fais l´sourd quand tu sors Les poches remplies pour gros achat ça monte en Italie Et si tu crois que voir sa teuch´ augmente ma dopamine
J´vais pas viser les mollets, j´baisserai pas les bras J´ai fini d´zoner, j´me suis pas livré J´ai quitté l´école, pour faire comme les grands J´ai vu mes collègues enfiler les gants
Solide dans les bas, beaucoup d´jaloux dans les bottes J´comprenais pas, j´les vis-ser j´attendais pas Même quand j´étais pris d´colère, j´ai pas essayé Tu m´as vu m´isoler, et tu m´as laissé
Là y a mes pensées qui s´emmêlent J´fais plus d´débats j´écoute même pas j´m´en roule un autre On arrive au Terminal 7 C´est plus pareil y a plus l´même goût j´vous mens pas