Je voudrais mourir dans la plaine Sous une belle lumière d´été Sur les coups de sept heures du soir Au milieu d´un long champs de blé L´or et l´azur qui s´embrassent
Et de gros nuages blancs très lents Sentir que je n´ai plus le temps Que chaque secondes menacent
Je voudrais mourir dans la plaine Sous une belle lumière d´été Sentir dans la chaleur tombée Que s´en va lueur ancienne Et vit de me laisser porter Par l´or et l´azur qui s´embrassent L’œil qui suit les grands nuages blancs Qui va qui bientôt le dépasse Sentir se défausser le temps Entre mes bras qui se lâchent Entre mes bras Entre mes bras Entre mes bras...