chaque rupture a son pan de vie qui maltraite le chantier des chantiers on peut alors sortir les rictus et composer avec un nouveau voyage sans nom quand une âme est trempée
elle finit par se rendre
elle sera de nouveau prête à bouffer sa horde d´étouffes-chrétiens elle voudras s´échapper du vivant mais rien n y fait, faut qu´ça heurte faut qu´ça endure, faut qu´ça sorte
on n´en a dompter des humeurs sauvages mais elles resteront la devant toi au fond de la salle assises a te jauger et au moindre faux pas, on se saluera comme des félins balafrés