Fait des berceuses pour insomniaques... Tu dors pas ? Tatatam... J´fais le sprint pour être premier sur la série Si la deuxième place est vide
C´est que t´as pas réagi assez vite
J´ai commencé dans ma bulle Comme un pitbull qui profane Fais pipi sur les MC qui prennent de l´ibuprofène Lorsque mes rimes prenaient formes Les amis m´assassinaient S´ils savaient comme j´les enculent J´crois qu´ils boiraient de la vaseline Et maintenant que ça ramasse Ils s’accrochent au train qui trace J´ai un harpon dans la nasse Et j´butte les requins qui m´chassent Tatatam J´ai la trompette et le piano Oh, quand j´me trompe dans les mots J´laisse interpréter les fans
Oh, j´suis aimé par ta femme Maintenant que j´monte tellement haut C´est comme si j´pétais des flammes Interpréter des drames Contre qui on s´ligue à tort Qu´on tronçonnait à terre Et qu´à trop saigner des larmes D´alligator Du Darfour au ? Ils me voyaient au carrefour Juste pour laver la verrière J´casse-dédi au vrai ya-kho Qu´étaient la quand il y avait rien Dans la savane et.. Comme si on était une armée d´lions, affamée
? pour le blocus Comme des meneuses à Tolbiac
Et mes comptines? me racontent-ils Sont des berceuses pour insomniaques Quand à la somme de mes albums N’apparaît pas un seul sans drame Et mes comptines? me racontent-ils Sont des berceuses pour insomniaques Je vous somme d´levez les paumes" (Le mic à terre sans faire d´arnaques) Et mes comptines? me racontent-ils Sont des berceuses pour insomniaques Sans oublier que depuis bébé Y´a une perceuse sur le berceau Si mes comptines? me racontent-ils Sont des berceuses pour insomniaques
J´arrive sur un podium vide D´où j´sais plus qui j´affronte Trop d´ombre pour ma blonde
Qu´a trouvé la galère trop longue Seul sur le toit du monde Parce qu´on rappait pas pour le nombre J´accompagne que les musiques sombres Et les frères à la tombe
Soigner cette maladie rare Ecoute ils me l´ont dit Mais il coule sur mes joues de rat Des gouttes de mélodie Il pleuvait toute la nuit En fa sol ou do ré mi Alors c´est l´rap hardcore, qui faisait parapluie J´ai rêvé d´arc-en-ciel mais d´où j´part tout parait gris Comment pourrait Marc Dorcel, plaire aux anges du paradis Qui mettaient pas d´pyjamas
J´ai volé des t´as d´gama? J’escaladais la gouttière pour dormir chez Tatiana Maintenant dans mon lupanar j´les saute comme un impala J´suis l´mec avec ta go´ qu´est tout nu quand t´es pas la Et j´vois déjà la fin des hommes Malgré c´que les mayas prédisent J´rentre dans l´nouveau millénium Avec un pied d´biche J´ai perdu l´reste du sommeil Dans les magouilles, et putain Que c´est dur d´être exceptionnel Là d´où j´viens Car ça exploite toutes les chances Malgré l´poids sur l´toit qui penche Même sans essence
Fallait bien que la voiture avance Sur le mic j´casse-dédi Faire l´effort pour les faibles Comme Jedi et Cassidy, j´ai d´la force pour les frères
Même si l´de-mon est sous l´sol Qui me tient par le col Me tire jusqu´en enfer (J´ai d´la force pour les frères) Et même si c´est pas vrai Que j´suis qu´un MC dépravé En concert il parait (J´ai d´la force pour les frères) Alors barricadez Paris Puis entravez nos poignets Car on passera au-travers (J´ai d´la force pour les frères)
J´fais cette musique urbaine qui draine toute la violence En 2,3 pas de danse (J´ai d´la force j´ai d´la f...)
? pour le blocus Comme des meneuses à Tolbiac Et mes comptines? me racontent-ils Sont des berceuses pour insomniaques Quand à la somme de mes albums N’apparaît pas un seul sans drame Et mes comptines? me racontent-ils Sont des berceuses pour insomniaques Je vous somme d´levez les paumes" (Le mic à terre sans faire d´arnaques) Et mes comptines? me racontent-ils Sont des berceuses pour insomniaques Sans oublier que depuis bébé
Y´a une perceuse sur le berceau Si mes comptines? me racontent-ils Sont des berceuses pour insomniaques
J´arrive sur un podium vide D´où j´sais plus qui j´affronte Trop d´ombre pour ma blonde Qu´a trouvé la galère trop longue Seul sur le toit du monde Parce qu´on rappait pas pour le nombre J´accompagne que les musiques sombres Et les frères à la tombe