" - Alors ? - On a juste trouvé une lettre - Quoi ? - Une lettre - Aucun être c´est tout ce qu´il reste. Qu´est-ce que ça raconte ? "
Mon dieu que ce monde qui s´effondre est sombre et sombre en cendres (...) Qu´ils sentent mon pays C´est avant et après le volcan de Pompéï
Depuis les bombes du mois de Décembre Il tombe des cendres Qui se mélangent aux flocons de l´hiver Leur objectif était de descendre Les gens virulents échappés d´un peloton militaire Il plane dans l´air comme une arme de guerre
Mais ils nous l´annoncèrent seulement après des mois Quand l´innocula la Terre
Le virus était sorti de leurs schémas
Après le tremblement de terre à sa rencontre avec les eaux irradiées de Fukushima C´est ce qu´on croit, cette eau qu´on a rejeté dans l´océan Seulement sans précaution d´emploi Dans les gros titres, des morts horribles épidémiques jusqu´à chez moi Bien sur l´Amérique a déclaré que c´était à cause de ces faux-culs-Chinois
Les signes étranges ont commencé Après les faits divers immondes Les types qui mangeaient ceux qui passaient Et les dévorés vivants en très grand nombre
Des morts vivants sortis de l´ombre
L´aviation bombardait de haut Paris, Bombay, Washington, Londres Et depuis lors, silence radio
Si très peu de gens sont toujours en vie Les villes sont remplies de zombies Mais pas les mêmes qu´à notre époque Ces débiles qui écoutaient Skyrock
Au crépuscule de l´apocaplyspe Je veux que ta peau brûle contre mes lips Qu´on se tienne la main sous le porche Et bute les zombies qui approchent
Je ferais du mieux pour être l´ersatz Qu´effacerait de tes yeux ces remords Avec toi une dernière valse Au milieu des arbres morts
Ils sacrifient nos vies au bacille Pour le profit puisque ça rapporte Quoi ? Tu trouves rien dans la pharmacie Pour des zombies qui grattent à la porte ?
Attrape la scie, check la scie, check, du coton, de l´alcool Et puis on met le feu à des torchons qui sont enroulés sur des casseroles
Barricadés mais la porte casse d´oh Avec mon fusil à pompe funèbres Je crâme une ganache qui dépasse Du haut du crâne jusqu´à la lèvre
Ma chérie viens, tiens moi la main Si on devait ne pas survivre aux assauts
J´ai détaché le chien dans le jardin Et puis ouvert la cage aux oiseaux
Qui eut cru que le virus nous décimerait ? Alors que l´Europe est en guerre À cause de l’annexion de la Crimée Par les russes à coups de bombes nucléaires
Que la Chine a envahi le Japon Et puis la Turquie tue le Grèce Les Etats-Unis ils tuent tout le monde Bien sûr ils disent c´est eux qu´on agresse
Israël termine tranquillement son génocide typique Quand soudain ont vit des humains modifiés dans leur génotypes
Au crépuscule de l´apocaplyspe Je veux que ta peau brûle contre mes lips Qu´on se tienne la main sous le porche Et bute les zombies qui approchent
Je ferais du mieux pour être l´ersatz Qu´effacerait de tes yeux ces remords Avec toi une dernière valse Au milieu des arbres morts
Le coucher de flammes du ciel est trop beau Sur les arbres qui crâment en feu de paillettes L´intelligence artificielle, les robots Siri devient Skynet
Leurs caméras qui suivent tout nos pas Sarah Connor ne nous sauvera pas
Les machines détraquées Se mirent à attaquer les humains Ils savaient tous où nous traquer Leurs chenilles faisaient trembler les chemins
Puisqu´ils avaient tous les codes Et ils connaissaient tes potes Même ton jour d´anniversaire Des données qu´on reversait sur Facebook, Twitter
Les pseudonymes des vidéos games en RPG Ils se retrouvèrent piégés Les humains se sont fichés tous seuls En références excel et comptes bancaires Ils ont mêmes les numéros De tes préférences sexuelles avec des animaux
Il y a pas de soucis pour nous Puisque on va sortir de là Ferme tous les verrous Et on va se cacher sur le toit
Je crois que cette fois ci bah c´est l´attaque finale Et je t´ai déjà dis, sans toi j´serais mal
Mais le toit craque elle crie plus de bruit quand elle atterrit à la cave Est-ce qu´elle est encore en vie? J´en pleure de rage quand je vois tous les zombies se diriger vers la cave
À la porte ça gratte, je dirige le canon de mon fusil
Ma chérie, je t´ai crue en grand danger J´pensais même t´avoir perdue Tu dis rien, mais sa paire d´yeux avait changé Comme deux billes
Elle se jette sur oim et m´arrache mon arme On tombe sur le sol, j´extirpe mon schlass Et transperce son sternum Et lui brise la nuque sous mes palladiums
J´attrape mon remington la crosse contre le mur et le sol et m´assoie devant le canon dans la bouche Le sang gicle comme une douche je gis avec ...
Le crépuscule de l´apocaplyspe J´veux qu´ta peau brûle contre mes lips Qu´on se tienne la main sous le porche Et bute qu´les zombies qui approchent
Je ferais du mieux pour être l´ersatz Qu´effacerait de tes yeux ces remords Avec toi, une dernière valse Au milieu des arbres morts
Danse avec moi jusqu´à la fin, jusqu´à la fin des temps