Six heures dix, j´ai toujours pas sommeil. J´déteste ma vie, je rêve de cartonner. Allongé dans l´lit j´repense à ce que tu m´as dit, J´repense à toi et ton parfum ça me ronge comme une maladie.
Et t´es ma tumeur, j´te déteste, sors d´mon cœur. Peur que tu meurs, j´te déteste, j´veux que tu pleures. T´es donc dans ma tête tous les jours, toute la nuit. J´te déteste, tu m´détruis, je t´aime plus que ma vie.
Quand t´es là j´fais le malin, T´es pas là, là j´suis mal. Ton bonheur c´est mon malheur, Ecoute moi juste un quart d´heure. J´suis perdu je sais pas c´que je veux, J´veux t´oublier, j´veux qu´on parte tous les deux. J´rejoins le ciel, attiré par les cieux. J´veux que tu te recueilles d´vant mes fragments osseux.
Comment faire? C´est la merde cette année. J´veux tout niquer, prendre l´contrôle du rain-té. Intérieur, extérieur, faut que j´te montre que tu m´plais. J´me mettrais l´monde à dos pour qu´tu sois à mes côtés.
Toi tu crois que j´suis fou, J´le suis peut être après tout. Mon seul défaut c´est toi, Mon utopie c´est nous.
Yeah, là j´suis vraiment fucked up. J´barode toute la nuit en attendant qu´tu décroches. Et toi tu pars, je fais ma vie,
J´vois les ampoules qui clignotent. Tard le soir j´marche dans la ville, A mon oreille tu chuchotes : que "ça va aller", Que "ça va aller", Ouais que "ça va aller", Que "ça va aller".