Jimmy, Jimmy, jamais Jimmy, Jimmy, jamais Jimmy, Jimmy, jamais Jimmy, Jimmy
Jamais je n´aurais pensé que l´on serait si proches J´ai pas bien vu l´été la neige était précoce J´ai pas mal remonté mes dimanches à la torche Déchiffrant tes textos, qu´avaient bien trop d´accroche Fini par être accro, je tente même le divorce Mon manteau sur le dos, des gouttes de sang en poche Dégoût devant cette porte, t´amènes une sorte de peau Tu n´loupes jamais le coche pour soigner mes bobos, bo bo bo
J´avais trop peu de forces pour encore résister Tu arrivais le torse gonflé comme un guerrier Avec ton audace folle, ton p´tit sourire en biais Tu viens comme pour m´sauver, surtout me délivrer C´qui sent encore le chaud de ton intimité J´étais tout excité par ce paquet épais Pour quelques d´billet d´près, t´en as toujours assez Tant pis si ça m´fait les traits, t´façon j´te rappellerai Mais, mais, mais
J´avoue que dans la nuit, je ne te loupe jamais Ta vive moto inouïe fait vriller la soirée Même aux heures de l´oubli t’arrives vite dans l´avalanche Sur la pente de pluie, t´auras toujours patte blanche Tu relances la musique, tu ressuscites mes danses T´amènes tous mes délices sur un grand plateau d´argent Tu traverses les périphs pour sauver mes urgences Au rythme de tes périples, je suis ton allégeance
J´étais beaucoup trop deg, j´pensais qu´t´allais traîner J´m´imaginais tandem t´es passé comme tempête T’empeste toujours la fête dans ma cage d´escalier Ton doux parfum Diesel, oh oui, j´le reconnaîtrais Parmi toutes ces paillettes que tu laisses s´envoler Que peut-être même tu perds avec d´autres condamnés T´inquiète pas, j´te surveille au combien j´t´attendrais T´es déjà dans mes veines, moi j´te veux dans mes plaies
Jimmy, Jimmy, j´arrête Jimmy, Jimmy, j´arrête Jimmy, Jimmy, j´arrête Jimmy, Jimmy jamais Je n´aurais pensé que l´on serait si proches J´ai jamais vu l´été, ta neige était féroce