Je suis en bas, c´est un début. Vous êtes un beau salaud !, ou pire... Vous qui vous pensez au dessus,
je suis en bas, mais c´est mentir. Je suis en bas, dans votre rue, sous la fenêtre au rideau crasse. Vous me voyez sans être vu, et c´est peut-être dégueulasse. Le drame, le drame, c´est qu´ils se filent, tout en haut, mes bas. Les femmes les femmes tout en haut défilent, mais ne s´arrêtent pas, ne s´arrêtent pas. Je suis en en bas et par-dessus des cordes tombent, et mes yeux fondent. Pendant que vous me mangez crue, j´ouvre mes lèvres ; je suis blonde. Je suis en bas, je suis déçue ; vous avez éteint la veilleuse. La veilleuse.
C´est une histoire irrésolue, et vous me traitez d´allumeuse. Le rame, le drame, c´est qu´ils se filent, tout en haut, mes bas. Les femmes les femmes tout en haut défilent, mais ne s´arrêtent pas, ne s´arrêtent pas. Le drame, le drame, c´est qu´ils se filent, tout en haut, mes bas. Les femmes les femmes tout en haut défilent, mais ne s´arrêtent pas, ça s´arrêtent là. Je suis en bas, vous avez bu. Vous êtes imbu, je suis complexe. Je suis en bas, vous êtes nu. Vous m´adorez, mais, ça me vexe.