Chanson des rues Feuille au vent Lettre perdue Les mots voyagent En faisant
Le plein d´images
Un tour de boussole, Deux villes au hasard Trois tournesols, Ou le grand large. Bouteille en mer, Cerf-volant, Grain de poussière Les notes nagent, Vont aux champs Suivent les plages.
Mon Dieu quelle chance, De bercer un jour Juste une enfance, D´un peu d´amour.
J´irai toujours, poussé par cette mélodie Qui se transmet, je crois, depuis la nuit des temps ça n´est jamais la même, elle fait souvent sa vie Mais elle revient chargée d´histoire et de présents Mon Dieu quelle chance, De pouvoir un jour Bercer une enfance, Avec un peu d´amour
Chanson des rues Feuille au vent Lettre perdue Les mots voyagent En faisant Le plein d´images
Un avion décolle, Deux trains rentrent en gare Trois rossignols, Chantent ce soir. Je suis chez moi, toujours au-dessus des frontières Pas de visa pour ceux qui voyagent en refrains Si on entend ma voix bien au-delà des mers C´est que tes mots, mes notes, vont main dans la main Mon Dieu quelle chance, De pouvoir un jour Bercer une enfance, Avec un peu d´amour
Chanson des rues Feuille au vent
Lettre perdue Les mots voyagent En faisant Le plein d´images
Un avion décolle, Deux trains rentrent en gare Trois rossignols, Chantent ce soir Bouteille en mer, Cerf-volant, Grain de poussière Les notes nagent, Vont aux champs Suivent les plages Mon Dieu quelle chance, De bercer un jour Juste une enfance,
D´un peu d´amour Mon Dieu quelle chance, De pouvoir un jour Bercer une enfance, D´un peu d´amour.