Tu peux jeter la première pierre Jusqu’à la dernière Pour dévier ma vie Tu n´pourras pas lever la poussière Éteindre la lumière de l´homme que je suis
Tu peux m´offrir des jours sans détresse Sans peur et sans stress Jusqu’à l´infini Je n´cherche pas la facilité Que j´ai reniée en l´homme que je suis
Tu peux sourire de mes colères Devant toutes les guerres Qui n´sont pas finies Tu n´sauras pas assécher la sève Qui coule dans les rêves de l´homme que je suis
Au nom de quelle liberté De quel drapeau et de quelle patrie Au nom de quelle vérité De quelle amitié et de quelle folie ?
Tu peux casser mes illusions Jusqu´à ma raison Sans le moindre bruit Tu n´touch´ras pas à l´espérance À toutes les croyances de l´homme que je suis
Tu peux m´apprendre, pour mieux me défendre Contre la violence À choisir l´oubli Tu n´chang´ras pas mon fusil d´épaule Je n´joue aucun rôle, je suis l´homme que je suis
Au nom de quelle liberté De quel drapeau et de quelle patrie Au nom de quelle vérité De quelle amitié et de quelle folie ?
Tu peux jeter la première pierre Jusqu’à la dernière Pour dévier ma vie Tu n´pourras pas lever la poussière Éteindre la lumière de l´homme que je suis
Tu peux aussi montrer ta face Et te vanter de ton cœur de glace Ton grand silence Dénature la France Je n´te salue pas L´indifférence