Marcher, faut marcher
Pour se battre pour la paix
Faut marcher
Sous le casque bleu des soldats de la liberté
Faut marcher, faut marcher

Marcher, faut marcher
Dans ces pays dévastés
Faut marcher
Protéger comme on peut
Tous ces peuples abandonnés
Et pouvoir les sauver

Bergers de la Provence, ouvriers de Dublin
Artisans  de Florence ou de Berlin
Les voilà réunis sous le même drapeau
Pour soulager les hommes de leur fardeau
Ils ont tout à y perdre et l’amour à donner
A tous ces gens qu’ils ne connaissent pas
Quand on leur tire dessus, si l’un vient à tomber
Ils serrent les poings mais ne renoncent pas

Marcher, faut marcher

Pour se battre pour la paix
Faut marcher
Sous le casque bleu des soldats de la liberté
Faut marcher, faut marcher
Marcher, faut marcher
Dans ces pays dévastés
Faut marcher
Protéger comme on peut
Tous ces peuples abandonnés
Et pouvoir les sauver

Leurs camions sont remplis de vivres et d’amitié
Sur ces routes de guerre et de douleur
Ils effacent les larmes, ils soignent les blessés
Ou bien consolent un enfant qui a peur
Comme champ de bataille, ils ont le cœur des villes

Sans ennemis, sans armes dans les mains
Et lorsqu’un général leur montre le chemin
Ils savent qu’ils ne se battent pas pour rien

Marcher, faut marcher
Pour se battre pour la paix
Faut marcher
Sous le casque bleu des soldats de la liberté
Faut marcher, faut marcher
Marcher, faut marcher
Dans ces pays dévastés
Faut marcher
Protéger comme on peut
Tous ces peuples abandonnés
Et pouvoir les sauver

Soldats de l’impossible et de la tolérance
Que tous ces conflits ne concernent pas

Ce sont les chevaliers de la dernière chance
Espérons que le monde le comprendra

Marcher, faut marcher
Pour se battre pour la paix
Faut marcher
Sous le casque bleu des soldats de la liberté
Faut marcher, faut marcher
Marcher, faut marcher
Dans ces pays dévastés
Faut marcher
Protéger comme on peut
Tous ces peuples abandonnés
Et pouvoir les sauver

Dans l’espoir de pouvoir les sauver