Si tu savais combien j’ai vu de silences Et de cris étouffés briser le cristal Combien je me suis écrit de mots d’absence Pour coucher ma peine en lettres capitales Si tu savais combien j’ai brulé d’encens
Pour maquiller Greenwich à l’heure orientale Combien j’aurai usé de patience
Serrements de cœur ne durent que le temps Le temps que s’envolent les mots prononcés Serrements de cœur reviennent au printemps Quand les nuits frivoles brulent mes pensées
Si tu savais combien j’ai pris de distances Avec les faux amis que l’habitude installe Combien j’ai senti le poids de ta présence En signant moi-même sur les cartes postales Si tu savais combien j’ai manqué de chance Pour pouvoir oublier notre flamme fatale Combien j’ai donné ma peau dans tous les sens Pour mieux effacer tes empreintes digitales
Serrements de cœur ne durent que le temps
Le temps que s’envolent les mots prononcés Serrements de cœur reviennent au printemps Quand les nuits frivoles brulent mes pensées
Serrements de cœur ne durent que le temps Le temps que s’envolent les mots prononcés Serrements de cœur reviennent au printemps Quand les nuits frivoles brulent mes pensées
Quand les nuits frivoles brulent mes pensées Quand les nuits frivoles brulent mes pensées Quand les nuits frivoles brulent mes pensées Quand les nuits frivoles brulent mes pensées Quand les nuits frivoles brulent mes pensées