C’est le grand silence de la vie qui me tinte aux oreilles.
C’est vilain silence qui glapit rien qu’à lui-même pareil.
C’est bruyant silence de la foule caquetant tout son saoul.
C’est parfait silence de parlotes où chacun radote.
Et dans ce guignol qui ricane qui rigole qui me suit me poursuit et encore mieux m’isole, c’est le dur silence de la vie qui me tinte aux oreilles.