Toi qui dis : « L’oiseau chante pour fêter le soleil… » Toi qui dis : « L’oiseau chante pour me charmer l’oreille… » Ce qui te semble chant
est pourtant cri de guerre. Cri de propriétaire. Et avertissement.
Crois-tu que les espèces jusqu’au profond des mers s’entre-dévorent en liesse sans souffrance de chair ? Immense sélection où tout se perpétue qu’à travers ton lorgnon tu admires. Tant et plus !
Gigantesque équilibre ! (il te remplit d’émoi…) Et quand ton être vibre à voir autour de toi tous genres, grands et menus
nés pour s’entre-bouffer, Homme, tu te sens l’Élu pour qui tout ça est fait !