Tu as nourrit ta plainte machinale. MÈcanique, tu souffres quand tu avales. Tu t´ennuis, tu t´enivres, langueur. Mange un ange au coeur qui t´Ècoeure. Ils passent aveugles, abÍment ton corps mou.
Ils tournent sur eux mÉme, ils deviennent fous. FaÃonnes et pardonnes l´animal. Pour juste dÈsapprendre ce mal. Ils deviennent fous. Elle s´endort. Ne voulait pas de ce corps. Leurs vies cassent, lÁche. Ce soir, trouve dans son corps, juste une impasse. LÁche! Le vent tourne comme ta tÉte bleu si lourde. L´heure s´enroule, la minute passe son tour. Ils chantent et rÁlent, les entends-tu? L´un d´eux lÕche tes veines, les manges et tu te tues. Oui, non, la mort t´a vu. Un regard souille ta vertu. Les mÁnes se souviennent; ton ange s´est perdu.
Elle s´endort. Ne voulait plus de ce sort. L´envie passe, lÁche. Chaque fois que tu l´ignores, elle reprend sa place. LÁche! Les entends-tu? Tes bras manquent... Tu voudrais comprendre. Quand la mort s´en mÉle. Mon enfant me laisse. Son absence me blesse. Maman voudrait bien. Maman voudrait te donner son corps. Pour sentir un peu plus ta mort. Je veux partir Þ mon tour mon amour. Chaque fois plus prÈs de toi: Je serais lÞ quand la
douleur reprendra. Maman t´implore! En vain, tu ne dis plus rien, pour ne pas dire que tu t´en vas. Maman t´adore! Maman t´implore! Maman t´adore!