Je n’aurai plus alors, pour assouvir ma rage, Dans ce tombeau vivant où le sort m’aura mis, Qu’à venir, ce jour-là , si j’en ai le courage, Te porter le coffret que je t’avais promis.
Je franchirai le seuil de ta chambre, en extase, Devant ta robe neuve aux volants de satin, Pour glisser sous les plis de ton voile de gaze Le cadeau que la fièvre aura mis dans ma main.