Tu étais la miraculeuse un peu frileuse pour un phœnix Ma nébuleuse quand je te quitte j´ai le Styx au fond des yeux
Tu l´avais mal à devenir dingue qui t´aurais cru de toute façon T´étais la balle j´étais le flingue t´as traversé tous les plastrons J´étais l´armure toi la cuirasse, putain, qu´on était beau Nous étions la rue de l´impasse nos âmes au milieux du chaos Toi tu iras à la dérive on essuiera que des peut-êtres Quand est-ce que l´on arrive quand est-ce que tout s´arrête J´ai des réponses plein la tête mais aucunes ne rimes à rien Dans cette parenthèse ouverte qui finit par trois petits points Tu ne parles jamais d´avenir car tu peines avoir le tiens
Quand tout va bien tu as rien n´a dire le pire c´est quand tu ne dis rien C´est autrement que tu communiques t´es ni mutique ni réservé T´es juste un peu pudique et en publique tu préfères observer Ne pleure pas mon départ moi je trouve ça encensé La seule distance qui nous sépare ma belle est celle de la pensé
A trop se dévoiler ça peut laisser des marques Dans mon ciel étoilé t´étais sûrement la plus dark Et plus je m´approchais et plus t´étais brillante Dans mon ciel étoilé tu n´es plus qu´une étoile fuyante
A trop se dévoiler ça peut laisser des marques Dans mon ciel étoilé t´étais sûrement la plus dark Et plus je m´approchais et plus t´étais brillante Dans mon ciel étoilé tu n´es plus qu´une étoile fuyante
J´ai jamais eu les crocs pire je te mangeais des yeux Mais je voulais juste trouver les mots pour te décrire dans ton jean bleue Je m´en balec que t´es la côte qu´elle fasse bander ta paire de seins Tous ces mecs qui jouent les coq Je reste un loups parmi les siens On se croit irremplaçable mais on est finalement
Qu´un infime grain de sable entre les griffes du temps Il arrive que l´on gagne et puis qu´on perde tout On déplace des montagnes qui ne sont que des cailloux Et si le monde entier bascule quoi qu´il arrive tiens toi debout On parait bien minuscule quant on reste à genoux Le pire pour les gens comme nous c´est d´avoir des semblables Savoir qu´ils sont partout mais qu´ils resteront introuvables Nos idées se contrastent t´es belle même indignée Je regarde nos planètes s´aligner avant qu´nos désirs soient des astres Même si ton cœur se tord respire tu peux encore sourire Comment te dire... Ce qui est mort ne peut mourir
A trop se dévoiler ça peut laisser des marques Dans mon ciel étoilé t´étais sûrement la plus dark Et plus je m´approchais et plus t´étais brillante Dans mon ciel étoilé tu n´es plus qu´une étoile fuyante
A trop se dévoiler ça peut laisser des marques Dans mon ciel étoilé t´étais sûrement la plus dark Et plus je m´approchais et plus t´étais brillante Dans mon ciel étoilé tu n´es plus qu´une étoile fuyante
Et si je t´aime, et si je t´aime
Et l´horizon en vain t´occulte, Je t´aime encore parmi ces choses froides Ma vie inutilement affamée se fatigue J´aime ce que je n´ai pas Toi... tu es si distante Mon ennuie lutte avec les longs crépuscules Mais la nuit vient et commence à chanter pour moi La lune fait tourner ses rouages de songes Les étoiles les plus grandes me regardent avec des yeux