On se retrouvera peut-être, parmi tous les oubliés J’ai l’impression de te connaître comme si nos âmes étaient liées Il y a des choses qu’on n’explique pas, tant pis si je passe pour un fou
Ne me demande pas pourquoi, moi j’y crois et puis c’est tout Il y a cette voix à l’intérieur, comme un miroir, un crucifix Prêt à parier qu’elle est ailleurs, je refuse de croire qu’elle est ici Mais sur quel parallèle, mes cinq sens veulent me duper Tu peux m’ôter la vie, mais crois-tu pouvoir la buter Et avec le temps j’ai fait le tri, je n’ai gardé que l’essentiel Car je me dis que le moindre ami, est un ennemi potentiel Nos âmes se superposent, on a surement les plus tordues La mienne éperdument perdue, parmi les plus moroses
Et si je pars un peu plus tôt, au cas où je viens à renaître Je me destine ces quelques mots, et me dis à bientôt peut-être Avant que mon âme s’effrite, écoute un peu ce requiem Car je me dis que le temps d’un titre je suis peut-être en feat avec moi-même
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha
Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes
La clarté de l’esprit, et la bonté du cœur Deux trésors à l’intérieur, sincère moi je m’exprime Je n’écris que pour les têtes, mon Éden est miniature Semblable à une bête enchaînée à sa nature Immature plus qu’immatériel, si bien dans la supercherie L’essentiel est offert et le superflue hors de prix Entre nos corps physiques, et nos corps émotionnel
Les dimensions de mondes psychiques deviendront-elles sensationnelles Ce monde a la déprime, mais ne sait jamais pourquoi T’as qu’à visé la Lune, on ne parle que des burkas Ouvert et vigilant, le bushido d’un samouraï La spiritualité a la splendeur d’un Sakura Plongé dans le silence ou dans la contemplation Attention à ne pas confondre l’analyse et l’inaction J’ai vaincu vos squelettes comme Jason et les Argonautes L’humilité c’est de savoir que l’on a besoin des autres
J’ai le courage de mes défaites, mes déceptions je les savoures
S’abreuver à la source, de la vie comme de l’amour Les oiseaux morts ne volent pas, ils s’échouent dans un ravin Entre la foudre et l’holocauste, trompettes et séraphins J’ai le courage de mes défaites, mes déceptions je les savoures S’abreuver à la source, de la vie comme de l’amour Les oiseaux morts ne volent pas, ils s’échouent dans un ravin Entre la foudre et l’holocauste, trompettes et séraphins
J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat
C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes J’ai la tête dans l’aurore, le cœur dans le brouhaha Et je me répète encore que le corps n’est qu’un trou à rat C’est la vraie vie qu’on a dépeint, retiens que les mots sont nos armes Et dans nos regards éteins l’émotion ne vaut rien sans nos âmes