💃🎤 Paroles de chanson Française et Internationnales 🎤💃
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A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V W X Y Z 0 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Ajouter aux Favoris Titre : Fin des illusions
Evanouis comme des illusions J’ai mixé mon passé, présent, future et j’en ai fait des sons J’serrais toujours trop nouveau, trop ancien ou pas assez récent Faites de chance, de soleil, de violence, ma ville a ses raisons En France la police tue, la Justice dit rien d’intéressant Ceux qui prennent le risque de me test subissent un supplice Les médias savent bien que pour faire peur, il suffit d’un suffixe J’sorts d’un chemin hors-norme, j’renvoie la balle au rap La concurrence, au diable, l’esprit pop au crematorium Kan ne fait pas du rap, mais du chant et fait de la science J’lache () pendant leur minute de silence C’est pire aujourd’hui, petit frère préfère () speed Armé pour de vrais, tire, laisse la bibliothèque vide L’avenir m’envoi des sextos, j’te l’dis texto Que leurs majors me tendent leurs (), j’te f’rais un expo On a de l’ambition mais l’espérance de vie d’un mégot J’veux de l’argent vue que l’argent compte plus que la vie d’un negro Je rec, toujours sans pitié t’façon plus rien à prouver Pas trop souvent sur les réseaux, ils s’plaignent de pas m’y retrouver Mais j’pourrais jamais perdre la main en flow j’ai jamais foiré Bien sûr, y’aura toujours des langues de putes pour nier les faits Je le leurs dit façon Biggie dans « It Was All A Dream » Téma frérot, je rime et ton jean n’est plus clean Génération Leatherface, chaisaw c’est le style Revient sans cesse chanter le scream comme une lame à Halloween Haloa, c’est pas la devise, au centre-ville tout s’ecroule A l’heure ou les fachos d’Europe s’unissent pour baiser les foules On est tous pister sur écoute, c’est moi qui part en couille ? T’façon la planète dérouille, la désillusion m’étouffe Je juge plus, regard () on vas tous mourir Quand les rappeurs font du zouk pour pas () toute une vie Certains s’attribuent les crimes de leurs crew pour faire les viriles La vérité sur youtube ne rapporte que peu de vues J’suis la depuis les Flinstones, depuis Ericsonne et les ringtones Envoie la cryptomonnaie, tu vois bien que le beat cogne Tu me parle de rien, tu m’parle de cash, tout a cou j’t’écoute J’vais réanimé la rue, j’lui fait du bouche à bouche d’égout T’as la meilleure dope, ouais c’est ça Ferme ta gueule, essaie ça Tu veux être livré avec IAM on fera le nécessaire La trap, tu l’as accentué mais tu rap sans tuer On s’gave comme Gargantua, de la table, absent tu es Trop de tas là dans leurs speechs, trop de tabac dans leurs zbirs J’me dit que la nature est bien faite quand ils font les canards devant leurs biches Zinc j’les avales quand j’inspire, ou j’les rafales quand j’expire Aucun détritus dans l’écriture je travaille comme Shakespeare Zinc on a la génétique pour survivre a la scène de tire et tenir jusqu’au générique J’avoue que j’suis un gros mytho quand j’mets un pied chez les flics Destruction dans ma vision Zinc si j’t’ais doubler c’est que la réalité dépasse la fiction Ce rap c’est un appart’, c’est tout un art de l’aménager Des concierges de toutes part, au moindre écart, on sent tout danger 300 rue des Barbares, trop de cafards voudraient y loger Beaucoup ne pensent qu’a le ronger qu’a le singer, qu’a le figer Que tous braquent leurs satellites des tuiles jusqu’au plancher Comme ça ils pourront voir que c’t’équipe la n’a rien à cacher Le jour on cherche nos mines pour que le crime soit presque parfait Et le soir on traque le rythme afin que nos hymnes puissent te dévorer Aucune demi-mesure, soit tu te couches soit tu fais all in On a fait le choix depuis trop de sniper visent nos poitrines Les propos corrosifs placent nos têtes au centre de la cible Mais le regard lointain, on garde quand même un pied sur nos racines, hey ! Bienvenue dans l’équipe ou l’impossible devient possible C’est un pack de fauve qui pète les portes jusqu’au premier essaie Conjurer le sort, changer le décor, redoubler d’effort on l’fait On créer nos sons dans le secret donc t’attends pas à trop sucré Loin des coins Français comme ceux de là -basau pays Quand j’rappe y a tout Mars’ derrière moi comme sur le selfie de Balotelli () ville () pour être honnête Quand j’cause du maire t’as l’impression que j’suis atteint de Gilles de La Tourette Marre de voir un future anxieux jalonné les rues de mon poing Comment ambitionner d’avoir mieux quand on ne craint plus que d’avoir moins ? On a le choix entre se révolter, fermer les yeux et se laisser faire Si un homme a plus que ce qu’il ne faut c’est que d’autres manquent du nécessaire Percé par le désespoir c’est triste quand la douleur se réveille C’est l’histoire d’une lame de rasoir qui joue la funambule sur une veine Moi je suis entre le gars ni () haïs, la haine m’amène Et le gars qui aime, () sur l’album de I.A.M Rare de voir un de tes () Dans les imper’ y’as un 357 neuf, ouais un 357 neuf Tes vestiments vert c’est vert, même si le fond en perd ses formes Si Dugarri critique sévère ses frères, je suis sûr de perdre c’est forts Nous voilà 20 dans la barque au bas mots à défiler « yes we can » Vois le mic’ prends le mic’ tu sauras à bas cout le « all you can » Canaillerie, raillerie, joaillerie taillent le mythe Il a dit qu’elle a dit qu’on a dit on noyait le rythme On a vue au caniveau gratter au casino, ouais mino River au camino affiner la weed au haribo Varier arriver vaniller marier au bario Fatiguer de montrer que Luigi n’est pas Mario Je suis le bon canasson, v’la le son t’as pigé mon garçon ? Valider tes idées () non, j’en fait mon paillasson J’vends du rêve, t’as les restes, M.R.S. c’est la maison Drafter par les N.Y.C. mix du rap c’est ma saison Fait par nous, fait pour nous, fait tourner, shooter à l’unisson Pleure seul, œuvre seul meure seul, de vrais manu micro Petits chefs, petit plans pour rêves moribonds Corrigeons la bise et convergeons et touchons le () Jeunesse a l’agonie, je ne sens plus son poult Shit et alcool dans les veines Comme d’hab’ une histoire à dormir debout Encore une fois une mère se noie dans ses peines Que faire quand le berger est du côté des loups ? Et prétends tenir les reines Quotidien est à gerber, je vomis le tout Tout en encaissant les coups que la vie assène Du mal à compter ceux qui sont sous écrous Ont serrer ou purger des peines On a déjà du mal à joindre les deux bouts Rester debout comment voir le bout du tunnel Mauvaise réputation, trainer dans la boue De bout en bout du coup leur coupe est pleine Beaucoup voudront jamais tendre la joue La main sur le joujou, trinquent et braquent et dégainent Toujours lucide j’vois les descentes des larmes en rivières et des plaies Les jours se suivent et se ressemblent, on regarde la misère en replay Le Diable les appâte puis les acclame, quel vacarme Ils disent que tous ceux qui brillent vivent que dans le style vide et sans état d’âme Fidèle à mon art à ma voix je débite Je ne quitte pas ceux qui parlent d’élite Me tape beaucoup de barres mais rattrape mon retard Poto je repart au quart mais les gaz débitent Pavé dans la mare, je casse les mythes Des beats barbare () regarder les rimes Je suis dans mon délire a part, je me démène et mène ma barque Rap rap et jamais n’hésite Crane blanc sur les corps décimés Ça () la punition Arreau sur les figures déguisées Dès que sonne la fin des illusions Crane blanc sur les corps décimés Ça () la punition Arreau sur les figures déguisées Dès que sonne la fin des illusions Dès que sonne la fin des illusions La fin des illusions Dès que sonne la fin des illusions La fin des illusions Larage REDK Relo Veust liriciste I.A.M I.A.M I.A.M I.A.M I.A.M