Aucune estime pour les bouzeux et ceux qui ventent le crime aux jeunes J’abrite les cieux, ca m’pique les yeux tout c’gaz lacrimogene
Et là où l’ame échoue je ressuscite A quoi les camés jouent? Je reste lucide, malgrès les soucis d’la née-jour
Comment faire face à la poussée démographique Lassé, je quitte l’impasse car autour ses démons gravitent
Mes penséees dans l’bocal en verre Quand c’est l’monde à l’envers Assez que les momes décèdent et les gosses blessés goutent à l’enfer Se forger un mental en fer, gars c’est quedal en soi Le talent s’voit et l’froid d’l’hiver peut t’faire l’effet d’une balançoire
La psy te laisse un comprimé, tout les incompris m’aident On est tous les cinq opprimés, nous les zin’cou primates
Jamais lassé d’la rame, j’accepte la rale Ca vient de l’1.7 l’arabe De la scène inséparable J’amene de la zetla rare
Si blêmes c’est que des blems´ que les camés ramenent à l’affut, d’une triste vie en prise de vue, que veut le cameraman
Quand l’ame est triste Peu d’amis t’restent Perds la maitrise
En pleine ivresse De l’allegresse Un anevrisme Sur l’allée grise ou la ligne 13
J’ai pas la recette de cette jeunese à fleur de peau Des parents qui t’aident mais le bonheur que t’effleure de peu De mes yeux clairs, vois cette vie sombre Et cette ville terne, obscène vulgaire vision Je sème bulle d’airs, sur scène pli l’son (x2)
Un teh’ de zeb, une teille de tise permet d’connaitre son co Rien qui nous aide, donc rien qu’on vise, c’est la Scred Nnexion-co
J’defends ma cause, ma prose qui sent l’bitume J’arrete de boire Déboire, névrose et sombritude Trottoir et son-pri tuent
Tellement fidèle au son, c’est le rap entier que je commémore J’suis prêt à me vider le sang, pour viter que ma re-mé meurt
Des rimes trop souvent faîtes Terribles t’en souffres, enfait Des rides s’découvrent Les veines qui s’ouvrent Le souffle des gués-dro sous amphet’
Et le grain du vinyl Laisse son empreinte Me remémore la crainte De l’intêret vénal, des pétrins juvénils
Ca s’allume, pour une sattire, un salem un shalom Insalubre, tout les r’coins où ça tire le salaire d’un seul homme
En bas du bat’ ca court Si y’a casse tête, en balle j’accours Pas d’rap sans prise de position Cass’ded Tupac Shakur
J’finirais pas doyen du bar J’en fais une affaire clé J’préfère voir l’enfer aveuglé
Qu’faire avec les moyens du bord
J’ai les dents dures c’est l’ADN Ne reve pas du Jardin d’Eden La vie t’endures, une vile teinture Quartier monture, paire de TN
J’ai pas la recette de cette jeunese à fleur de peau Des parents qui t’aident mais le bonheur que t’effleure de peu De mes yeux clairs, vois cette vie sombre Et cette ville terne, obscène vulgaire vision Je sème bulle d’airs, sur scène pli l’son (x2)