En vrai t´hallucines Que si t’es pas lucide Et tu peux te plaindre de ton taff´ Mais ce n´est pas l’usine
Une nouvelle carte sim Sirotes un capri sun Comme a lancienne Tu vends ton seum Boulevard des capucines
T´es pas du genre à t´faire passer Pour du cartier cazal Tu préfères parler d’la casa Qu’étaler ton casier
Répares les pots cassés "bé-bar" les pierres de de Bokassa Ou repère les paire de mocassins Les poumons encrassées
C´est l´histoire d´un jeune garçon, la mère absente
Qui fuit l´Abscont, avec un verre d´Absinthe, le regard sombre..
Trop tard pour lui porter secours devant son corps Ou prendre son poul La vie reprend son cours T´y penses encore
Et t´es pas fier d´apprendre Que dans les faits marquants De lui les gens se souviennent se grattant les veines à cran
Si fiere de faire un clan Ton frère il fera l´grand Attends que sur civière
Il sente l´effet d´l´efferalgan
Ne t´approches pas de lui s´il veut te faire la peau Un vatos locos ne sait pas ce que c´est faire la paix
L´affaire appel, il flaire la paye, ce qui l’effraie l´impôt Peu importe ce qu´il éprouve, il trouve que bosser fait d´la peine
Il y a ceux qui font des sous Il y a ceux qui passent aux aveux
Il y a ceux qui font les sourds Il y a ceux qui font les aveugles
Entre les rixes, la fume et la zipette Le verre a moitié vide, t’es lassé d´voir Contemples la ville quand elle éteint ses phares Ou contente de la vie car elle est ainsi faite
Et si tu voulais pas de cette vie Essaies de récupérer celle d´avant, car quand les poulets s´amènent tu "vesqui" et t´investis quand tu sais qu´c´est d´l´Afghan
Tu t´crois tu bon coté La rue t´a mis la bague au doigt Ta famille boycotté
Et d’humeur taciturnes, écris ton recit ternes Penses à celle qui t´attend pas celle qui dans la té-ci tourne
Assumes de faire des sous quand déçu les pu´ dormes T’entendais le soir des cris sourds et des bruits d’armes Aux prud’hommes Jugés nocifs quand on s’ouvre Tant qu´ on souffre ils nous sifflent Et nous ciblaient souvent suivant l’épiderme
Canon contre le tempes c’est comprometttant Ils se la racontent trop, l’etonnent, veulent controler l’temps
Face à ce que le monde inflige, démontes un flash L’avidité qui monte en flèche Face au decompte, montre les dents
Je doute que la fille des halls, devienne meuf idéal Elle voulait se vider l´âme, tout en faisant des vidéos
Oh, sa vie deraille c’est sideral Loin dune harmonie linéal Elle prit la fuite pour vite eviter c’role
Toujours eu du mal à t´insérer Que les gens parlent ou pas t´en sais rien Et quoi qu´ils disent sur toi t´en sais rien T´auras toujours du mal à t´insérer
Tombé sous le charme de cette jeune demoiselle Les journées s’enchainent, tu la laisses sans gêne deux mois seuls
Sous l’kevlar, un bouquet d’fleurs, il goutte les flammes Le doute l’effleure, recompte les feuilles dès qu´il découvre les femmes
Entre les rixes, la fume et la zipette Le verre a moitié vide, t’es lassé d´voir Contemples la ville quand elle éteint ses phares Ou contente de la vie car elle est ainsi faite
Et si tu voulais pas de cette vie Essaies de récupérer celle d´avant, car quand les poulets s´amènent tu "vesqui" et t´investis quand tu sais qu´c´est d´l´Afghan
Toujours eu du mal à t´insérer Que les gens parlent ou pas t´en sais rien Et quoi qu´ils disent sur toi t´en sais rien
T´auras toujours du mal à t´insérer
Entre les rixes, la fume et la zipette Le verre a moitié vide, t’es lassé d´voir Contemples la ville quand elle éteint ses phares Ou contente de la vie car elle est ainsi faite
Et si tu voulais pas de cette vie Essaies de récupérer celle d´avant, car quand les poulets s´amènent tu "vesqui" et t´investis quand tu sais qu´c´est d´l´Afghan