Combien de fois vont-ils encore piétiner mes rêves Jeter des pierres du haut de leurs grands mépris Quelques heures pour que je m’en relève Et combien de temps pour que j’oublie
Les cachets qu’ils avalent pour vite trouver le sommeil A part ça tout va bien puisque les coffres sont remplies Ils doivent croire que tous se monnaye Les souvenirs n’auront pas de prix
A quel point faut-il être distrait Pour oublier de vivre, de vivre, de vivre
Même quand leurs cages sont dorées Les oiseaux veulent voler, Voler à l’air libre