Le monde ne veut pas tout ce que je voudrais. Sans cela ce serait simple puisque je t’aime. Que cette musique est triste dans la petite rue en neige Et pourtant, ce qui ne se peut pas se pourrait.
Tu viendrais maintenant à ma petite table. Je te regarderais comme toi. Doucement, en oubliant, mes bras glisseraient en tremblant sur tes bras qui glissent comme l’eau sur le sable.
Ma bouche sur ta bouche et mon corps sur ton corps, tu sourirais. Les chênes ont les feuilles pourries. Les enfants poursuivaient un petit chien timide. Cela est vivant, mais l’amour de toi est mort.
Écoute ma tristesse pareille au grillon qui chante dans la suie luisante comme le sel. Viens, nous avons des bras. Tu mangeras le miel que les abeilles font, l’automne, à l’horizon.