Je dois partir, il y a toujours une route qui va vers les gens qui m’aiment et attendent mes chansons.
Je dois partir et malgré ce qu’il m’en coûte, vivre ma vie de Bohême, d’éternel vagabond.
Au revoir, ce n’est pas adieu, je reviendrai sécher tes larmes, je me noierai dans tes yeux jusqu’au matin, rien que nous deux.
Au revoir, ce n’est pas adieu, je guérirai tes bleus à l’âme, je te ferai des ciels si bleus, des soleils si merveilleux, au revoir, ce n’est pas adieu.
Je dois partir, ne me brûle pas les ailes
car tous les oiseaux reviennent là où les attend l’amour.
Partir encore, une autre ville m’appelle, je reviendrai si tu m’aimes, je resterai pour toujours.
Au revoir, ce n’est pas adieu, je reviendrai sécher tes larmes, je me noierai dans tes yeux jusqu’au matin, rien que nous deux.
Au revoir, ce n’est pas adieu, je guérirai tes bleus à l’âme, je te ferai des ciels si bleus, des soleils si merveilleux.
Au revoir, ce n’est pas adieu, je reviendrai sécher tes larmes, je me noierai dans tes yeux jusqu’au matin, rien que nous deux.