J’avais pensé, qu’avec le temps Je pourrais oublier l’absence Et même jouer à faire semblant De n’être pas différent De l’homme que j’étais avant
J’avais pensé, qu’avec les jours Je comblerais ce vide immense Que ma vie reprendrait son cours De vagabond, de troubadour Et pourtant, j’y pense toujours
Il suffit qu’un être vous manque Pour que la vie soit dépeuplée Dans le désert de ton absence Je n’ai plus d’étoile pour me guider…
C’est toi, la seule qui me manque Comme un bateau désemparé Sur l’océan de ton absence Je serais toujours en errance Un éternel naufragé…
J’avais pensé, avec la vie Reprendre goût à l’existence Et, qu’avec le temps, pour ami Les jours m’apporteraient l’oubli Et qu’enfin, je serais guéri
J’avais pensé, mais à quoi bon Ce que je dis, ce que je pense Mon cœur est vide et la maison N’est plus qu’un nid à l’abandon Où il n’y à plus de chansons
Il suffit qu’un être vous manque Pour que l’amour soit dépeuplé Dans le désert de ton absence Moi, je me perds à te chercher…
C’est toi, la seule qui me manque
Comme un bateau désemparé Sur l’océan de ton absence Je serais toujours en errance Un éternel naufragé…
Sur l’océan de ton absence Je serais toujours en errance Un éternel naufragé…