C´est la main dans la main Qu´ils avaient fait le long chemin. Il disait: «Viens, ma belle, Moi, je n´ai qu´une étoile à mon ciel ».
J´ai la mémoire De nos beaux jours, Le vent du soir N´est pas celui du désamour. Si les années S´en vont trop vite, La rose peut faner Mais pas la marguerite…
C´était tendre et si doux D´entendre encore amoureux fous Ces amants de longtemps Fiers de leurs quatre fois dix-huit ans.
J´ai la mémoire De nos beaux jours, Le vent du soir N´est pas celui du désamour.
Si les années S´en vont trop vite, La rose peut faner Mais pas la marguerite…
Je souhaite à chaque amour Un aussi grand bonheur… Et, à la fin du parcours, Ils se savaient par cœur…