Avec le jour qui s´évapore Et les oiseaux qui trainent encore C´est l´heure cruelle ou se melangent Les ombres sur un ciel un ciel orange Dans cet exil ou tu n´es pas
Tu es partout tout a la fois Le vent fragile ou la chaleur La fievre bleue sous l´equateur
J´T´ATTENDS TOUT AU BOUT DE LA PEUR QUI S´AVANCE D´UNE Longue Nuit QUI COMMENCE J´T´ATTENDS COMME ON GUETTE LA FIN DU SILENCE D´UNE Longue Nuit QUI COMMENCE
Et je regarde la plage beante
Ou viennet les tortues geantes La nuit ressemble a un complot Ou tout se trame a demi-mots Il y a les bruits de ton absence Et les secrets de ta présence Dans cette moiteur ou je frissonne Il ne vient plus jamais personne
J´T´ATTENDS TOUT AU BOUT DE LA PEUR QUI S´AVANCE D´UNE Longue Nuit QUI COMMENCE J´T´ATTENDS COMME ON GUETTE LA FIN DU SILENCE D´UNE Longue Nuit QUI COMMENCE