( Genezio fait des mélos ) ( Ah oui, ah ouais ) ( Boulot, boulot ) ( Boulot, boulot )
Boulot, boulot tous les matins J´mets d´la couleur, couleur sous le matelas J´serai plus locataire de ces quatrains Personne prendra mes patins Des ratures Les poumons noirs, j´ai fumé l´gélato On organise, on ramène Monaco, Nice, promenade anglaise J´peux pas m´fendre d´la poire mais j´dois gratter ma part Même s´ils veulent ma mort Tant de remords, je coche, j´éteins le soir La haine face au miroir
Boulot, boulot tous les matins Boulot, boulot tous les matins J´serai plus locataire de ces quatrains J´serai plus locataire de ces quatrains
Boulot, boulot tous les matins Boulot, boulot tous les matins J´serai plus locataire de ces quatrains, eh
Alcoolisé, j´ai plus les mots Regarde moi dans les yeux Et dis moi ce que tu vois au fond d´moi Et dis moi ce que tu vois au fond d´moi Alcoolisé, j´ai plus les mots Regarde moi dans les yeux Et dis moi ce que tu vois au fond de moi Et dis moi ce que tu vois au fond de moi ( Boulot, boulot, tous les matins ( Boulot, boulot, tous les matins (J´serai plus locataire de ces quatrains ) ( J´serai plus locataire de ces quatrains ) ( Boulot, boulot, tous les matins ) ( Boulot, boulot, tous les matins )
( J´serai plus locataire de ces quatrains )
J´peux pas les côtoyer eux, ils agissent comme des haineux Viennent gratter de ton assiette, mais récoltes tronquent que des gifles Avec eux j´mets distance, j´me concentre sur l´essentiel J´ai de la plata à faire rentrer, investir ou faire rentrer J´sais qu´on n´emportera rien, mais j´peux pas vivre en chien J´veux être locataire donc j´vise les gros salaires J´veux juste mettre bien la mif donc j´renonce au bonheur J´me rapproche du haram, j´ai de l´amour pour les billets verts
Les parents pauvres, cheveux crépus, on vient des marécages Barricades à l´étage, minuit pile, c´est la feuille de compte Ils sont venus à plusieurs, le premier qui bouge, j´vais l´baiser J´suis derrière la vitre sans teint, j´vais pas répondre aux questions Cagoulé est devant la banquière, adrénaline dans le coeur À six heures, le réveil est brutal, évidemment je nie devant les faits Si faut l´refaire, on l´refait ( Et si faut l´refaire, on l´refait ) ( Évidemment, j´nie devant le fait ) ( Évidemment je nie devant les faits ) ( Si faut l´refaire, on l´refait ) ( Ah oui, ah oui )