Personne pour m’aider à porter mon coeur gros ? Le ciel n’aurait-il pas une petite Ève en trop ? Personne pour m’aider à porter mon coeur gros ? Le ciel n’aurait-il pas une petite Ève en trop ? Une petite Ève en trop ?
Bien longues sont les nuits que l’on passe tout seul, Le drap le plus douillet ressemble à un linceul, A un linceul.
Et pour peu qu’on n’ait pas la nature d’un saint, On se prend à rêver de la femme du voisin. J’en ferai pas ma bonne et mon souffre-douleur Je ne la battrai pas, même avec une fleur, Au plus de temps en temps, et sauf votre respect, Jusqu’à froisser sa robe je pouss’rai le toupet.
Personne pour m’aider à porter mon coeur gros ? Le ciel n’aurait-il pas une petite Ève en trop ? Personne pour m’aider à porter mon coeur gros ? Le ciel n’aurait-il pas une petite Ève en trop ? Une petite Ève en trop ?
Qu’aux alentours du coeur elle eut quelques appas Quelques appas. Quand les fruits du pommier ne sont plus de saison, Heureux qui croque encore la pomme à la maison. Par avance Seigneur je vous en remercie. Donnez-moi vite une compagne, même si De l’une de mes côtes il faut faire les frais. Maintenant, j’en suis plus à une côte près !
Personne pour m’aider à porter mon coeur gros ? Le ciel n’aurait-il pas une petite Ève en trop ? Personne pour m’aider à porter mon coeur gros ? Le ciel n’aurait-il pas une petite Ève en trop ? Une petite Ève en trop ?