L’absence a fait son oeuvre et quand l’ai revue Elle m’a regardé sans douleur ni remords, Et j’ai cru la sentir, cette calme statue, S’asseoir sur le tombeau de mon bel amour mort.
Et quand, pour la reprendre à des ressouvenances, J’ai voulu lui parler des bonheurs d’autrefois, Son coeur fut comme un puits aux vagues résonances Où bientôt se perdit le frisson de ma voix.