Dans les parcs, j´vois les saisons qui changent Mais pas nos états d´esprits On regarde les feuilles mortes Mais pour les souvenirs, il suffit pas d´une nuit Allume une bougie pour nos conneries faîtes dans l´square
Tu l´éteindras une fois confronté au marché d´l´emploi Souvent l´amour guide les pas Mais l´manque d´argent tue les âmes L´espoir s´enfuit dans la fumée noire Et comme tous les autres, j´suis tout sauf basique, évasif J´rêve de tours du monde avec mes Reebok Classic On crève dans mon asile, t´entends les bombes dans Paris La main sur la poitrine, j´rêve de couplets magiques J´espère être sur mon ch´min, y´a les miens qui s´agitent J´crois qu´certains ont croisé l´bonheur Sans s´douter qu´il part vite Il y a pas la vie sans la mort, mi amor Mais comment te dire qu´elle me tue et qu´c´est pire encore ?
Brûle, brûle Sens-tu nos consciences qui brûlent, brûlent autour de nous ? Et quand on brûle, brûle Sens-tu ces absences qui brûlent, brûlent nos défauts ? Et toi qui brûle, brûle Sens-tu nos consciences qui brûlent, brûlent autour de nous ? Et moi qui brûle, brûle Je sens la défiance qui brûle, brûle jusqu´au bout
J´ai vu, dans un pote qui dégueule, la vie Qu´il fallait voir plus loin qu´son mélange vodka-redbull et ecstasy Canaliser mes émotions quand j´me laisse guider par mes élans d´folie
Quand toute ma vie devient trop sombre, bloqué dans mon lit La lune a ses nuages, ma réflexion a ses défauts Elle peut être mirage dans mes nuits quand j´me lève tôt Il y a pas la vie sans la mort, mi amor Mais comment te dire qu´elle me tue et qu´c´est pire encore ?
Brûle, brûle Sens-tu nos consciences qui brûlent, brûlent autour de nous ? Et quand on brûle, brûle Sens-tu ces absences qui brûlent, brûlent nos défauts ? Et toi qui brûle, brûle Sens-tu nos consciences qui brûlent, brûlent autour de nous ?
Et moi qui brûle, brûle Je sens la défiance qui brûle, brûle jusqu´au bout
Un miroir brisé, des poèmes qui brûlent Mon corps qui hurle, encore et encore La peau tigrée, mes pensées qui fusent Je cherche à m´endormir, encore et encore Un miroir brisé, des poèmes qui brûlent Mon corps qui hurle, encore et encore J´ai toujours l´cerveau qui fume Mais j´essaye d´m´en sortir, même si j´m´attends au pire Marre de faire semblant J´veux fuir avec ma silhouette dans l´vent J´te promets qu´c´est tentant J´ai des regrets quand j´pense Que j´ai gardé mes yeux d´enfant
Perdu mon calme, les deux poings sanglants Sentiments étranges, non Dans mon corps il n´y a pas que moi quand je sens le froid Il y a pas la vie sans la mort, mi amor Mais comment te dire qu´elle me tue et qu´c´est pire encore ?
Brûle, brûle Sens-tu nos consciences qui brûlent, brûlent autour de nous ? Et quand on brûle, brûle Sens-tu ces absences qui brûlent, brûlent nos défauts ? Et toi qui brûle, brûle Sens-tu nos consciences qui brûlent, brûlent autour de nous ? Et moi qui brûle, brûle
Je sens la défiance qui brûle, brûle jusqu´au bout
Et toi qui brûle, brûle Sens-tu nos consciences qui brûlent, brûlent autour de nous ? Et moi qui brûle, brûle Je sens la défiance qui brûle, brûle jusqu´au bout