Ça faisait des mois que je pensais plus à toi Je t´ai croisais dans la rue Ça ne me faisait ni chaud ni froid J´étais guéri, j´avais bonne mine Faut savoir lire entre les lignes
Lire entre les lignes
J´arrive pas à croire qu´on ait remis le couvert Y´a des choses dans la vie qu´y tiennent du mystère Tu sais pourtant tu me fais du mal T´es trop bonne, ne le prend pas mal, ne le prend pas mal, ne le prend pas mal
Tous les soirs je voudrais qu´on arrête Je voudrais que tu me lâches Que tu me prennes plus la tête Mais le matin quand tape le soleil à ma fenêtre J´ai envie de toi Putain de cigarette
Je peux faire des bornes au milieu de la nuit En étant qu´à moitié endormi Je fais la queue pendant des heures Tant pis si je passe pour un loser On m´dit qu´un jour tu finiras par uer Mais un jour c´est vague, c´est flou, c´est pas concret Alors je t´aligne ma jolie héroïne
Partent en fumée ma santé et mon spleen, et mon spleen
Tous les soirs je voudrais qu´on arrête Je voudrais que tu me lâches Que tu me prennes plus la tête Mais le matin quand tape le soleil à ma fenêtre J´ai envie de toi
Putain de cigarette
Tu vois t´es comme ces gens toxiques Que l´on fréquente par habitude On sait que c´est mal, c´est pathétique Mais faut combattre la solitude
Tous les soirs je voudrais qu´on arrête Je voudrais que tu me lâches Que tu me prennes plus la tête Mais le matin quand tape le soleil à ma fenêtre J´ai envie de toi Putain de cigarette
Tous les soirs je voudrais qu´on arrête Je voudrais que tu me lâches Que tu me prennes plus la tête
Mais le matin quand tape le soleil à ma fenêtre J´ai envie de toi