Quand j´allais en vacances à Paris C´était comme une fête La Normandie c´était mon pays Mais Julie c´était chouette
Elle me faisait visiter la ville Et c´était l´aventure Et moi je lui parlais de grand-mère Et de ses confitures Qu´elle goûterait chez moi En vacances à son tour
Elles s´en vont les amours Elles s´en vont, elles s´en vont
Les Julie de ma vie d´aujourd´hui Sont toujours aussi belles Les étés de ma vie d´aujourd´hui Sont toujours plus cruels Ils nous prêtent pour jouer Des fourmis, des chevaux, des abeilles On a droit pour un mois au carnet Deux tickets de soleil
Il n´y a pas d´été S´il n´y a pas d´amour
Elles s´en vont les amours Elles s´en vont, elles s´en vont (ad lib)
Elles s´en vont les amours de l´été Elles s´en vont pour longtemps Pour un mois, pour un an Avec les mauvais jours Elles s´en vont les amours Et souvent pour toujours
Elles s´en vont (ad lib)
Elles s´en vont les amours de l´été Elles s´en vont pour longtemps
Pour un mois, pour un an Avec les mauvais jours Elles s´en vont les amours Et souvent pour toujours