En février quarante cinq, je suis né Petit village de province, libéré La jeune fille en crainte, délivrée Jeté comme une lettre, un colis de promesses Sans timbre et sans adresse !
Ma mère s´est débrouillée comme elle pouvait J´étais les suites d´un homme du passé Ses petits emplois de bonne, suffisaient C´était pas la misère Mais les amis de ma mère, J´en avais rien à faire
Warum mein vater Traîne dans mon cœur Warum mein vater Mon enfance pleure Warum mein vater Traîne dans mon cœur Warum mein vater Mon enfance meurt
Aujourd´hui j´ai un fils blond comme les blés
Le jeu des générations a gagné Mais resurgissent les questions, oubliées Auxquelles personne ne répond Alors je me suis fait un nom Que mes enfants porteront
Warum mein vater Traîne dans mon cœur Warum mein vater Mon enfance pleure Warum mein vater Traîne dans mon cœur Warum mein vater Mon enfance meurt
Warum mein vater Traîne dans mon cœur Warum mein vater