Parmi des milliards de bêtises C´est toi de loin que je préfère Je t´aime, je persiste et je signe Et le temps ne peut rien y faire Tu ne demandes rien, tu passes
Légère et simple comme bonjour Tu m´arc-en-cielles tout l´espace D´un mètre soixante d´amour
Je me fous de la fin du monde Mais j´aimerais pas la fin de toi Je me fous de la fin du monde Mais j´aimerais pas la fin de toi
Les autres, c´étaient des martiennes Quand elles débarquaient sur mon coeur Qu´elles mettaient leur main dans la mienne J´avais besoin d´un traducteur Toi tu es tout rire, tout soleil Tu n´as que des chagrins d´oiseau Tu rêves sitôt ton réveil Tu dis que tu me trouves beau
Je me fous de la fin du monde Mais j´aimerais pas la fin de toi Je me fous de la fin du monde Mais j´aimerais pas la fin de toi
Où tu m´entraînes, où tu m´emmènes Jusqu´où va-t-on aller trop loin Tu m´as débaptisé la Seine Le fleuve d´amour te va si bien Je mets du ciel plein nos valises Sans t´dire que j´ai peur quelquefois Que tous nos chemins de Venise Nous conduisent à Hiroshima
Je me fous de la fin du monde Mais j´aimerais pas la fin de toi Je me fous de la fin du monde Mais j´aimerais pas la fin de toi