[Grand Corps Malade] Si les nuits d´été on passe des heures à regarder le ciel A attendre le passage éclaire des étoiles filantes
C´est qu´le charme de la vie a un plus beau potentiel Quand les choses sont fragiles et les secondes fuyantes
[Gael Faye, Ben Mazué] L´étoile filante ne s´installe pas, elle s´envole et disparait On l´attend on l´espère pour un plaisir furtif Il faut saisir l´instant pas la seconde d´après Les bonheurs les plus intenses sont souvent fugitifs
[Grandd Corps Malade, Gaël Faye & Ben Mazué] Le précaire ça génère, l´émotion s´accélère Pour défaire et refaire laissez faire l´éphémère
Pour se sentir vivant loin des routines amères Laissez taire l´ordinaire, laissez faire l´éphémère
Rien n´es jamais fini, jamais figé, jamais éternel C´est juste après la vie, un trait léger de craie dans le ciel Rien n´est jamais perdu, jamais foutu, jamais immobile Y´a pas d´avant pas d´après, rien d´indélébile sur cette terre Que de l´éphémère
Il ne restera rien de nos livres, de nos rimes, de nos lignes , de nos vies furtives et fragiles On s´en va dans l´abime, dans le vide mais, qui sait, on laissera même un film un faisceau dans la nuit
Il ne restera rien de nos livres, de nos rimes, de nos lignes , de nos vies furtives et fragiles On s´en va dans l´abime, dans le vide mais, qui sait, on laissera même un film un faisceau dans la nuit Que de l´éphémère Laissez faire l´éphémère
Les jours passent et tout s´efface Les jours passent et tout s´efface, tout s´efface Les jours passent et tout s´efface, tout s´efface Les jours passent et tout s´efface, tout s´efface Les jours passent et tout s´efface, tout s´efface Les jours passent et tout s´efface, tout s´efface Les jours passent et tout s´efface, tout s´efface