Rien ne m’importe tant que t’es près de moi Que tu frappes à la porte, de mon cœur qui bat pour toi Oui rien ne m’importe quand je sais que t’es là
Et tant que tu escortes le moindre de mes pas Oui rien ne m’importe, tant que tes yeux me voient Tant que l’on fait en sorte, de toujours vivre comme ça Une vie belle et forte, avec l’amour pour roi Oui rien ne m’importe tant que t’es près de moi
Rien ne m’importe, je n’ai plus jamais froid Même le vent qui emporte, tout ne m’atteint pas Même le diable qui m’exhorte n’a pas raison de moi Car rien ne m’importe, moi je n’aime que toi Rien ne m’importe, ni ici, ni là-bas J’enverrai lettre morte, si ils veulent m’enlever de toi
J’affronterai leur cohorte, j’accepte leur combat Car rien ne m’importe, sauf t’avoir près de moi
Rien ne m’importe car moi je n’entends pas Les nouvelles qui apportent, les horreurs et les froids Mais rien ne m’importe, je n’écoute que ta voix Ta voix qui me transporte, bien plus que tu ne croies Oui rien ne m’importe, tu fais partie de moi Et mon âme ne comporte, que des diamants de toi Oui rien ne m’importe, je ne vis que par toi Le reste c’est n’importe quoi, si ce n’est pas toi
Rien ne m’importe, je n’ai plus jamais froid Même le vent qui emporte, tout ne m’atteint pas Même le diable qui m’exhorte n’a pas raison de moi Car rien ne m’importe, moi je n’aime que toi Rien ne m’importe, ni ici, ni là-bas J’enverrai lettre morte, si ils veulent m’enlever de toi J’affronterai leur cohorte, j’accepte leur combat Car rien ne m’importe, sauf t’avoir près de moi
Oui rien ne m’importe, tu fais partie de moi Et mon âme ne comporte, que des diamants de toi Oui rien ne m’importe, je ne vis que par toi Le reste c’est n’importe quoi, si ce n’est pas toi
Rien ne m’importe, je n’ai plus jamais froid Même le vent qui emporte, tout ne m’atteint pas Même le diable qui m’exhorte n’a pas raison de moi Car rien ne m’importe, moi je n’aime que toi Rien ne m’importe, ni ici, ni là-bas J’enverrai lettre morte, si ils veulent m’enlever de toi J’affronterai leur cohorte, j’accepte leur combat Car rien ne m’importe, sauf t’avoir près de moi, de moi